En 2020, avec la pandémie de Covid-19 et les interdictions de vente d'alcool, les professionnels prédisaient un avenir sombre pour le vin sud-africain. Ils estimaient que la filière pourrait perdre jusqu'à 20 000 emplois et que huit caves sur dix ne s'en remettraient pas. Néanmoins, 2021 a changé la donne. Les ventes sont reparties de plus belle, notamment les exportations qui ont bondi de 12 % en valeur.
Pourtant, l'affaire n'était pas gagnée d'avance, avec la désorganisation dans les ports et les problèmes d'approvisionnement en bouteilles de verre. D'ailleurs, à ce propos, le vin sud-africain s'exporte désormais majoritairement en vrac.
Le Royaume-Uni est toujours la première destination, à l'étranger, des cépages austraux, suivi des États-Unis, de l'Allemagne, du Canada et de la Chine.
En Afrique, ce sont les Nigérians, les Kényans et les Tanzaniens qui boivent le plus de vin sud-africain.
La filière qui fait vivre 300 000 personnes et gonfle les recettes extérieures du pays, monte en gamme, chaque année, et se vante, aujourd'hui, de proposer des vins de qualité, plus rémunérateurs… de quoi préserver la huitième place mondiale qu'occupe l'Afrique du Sud au palmarès des vins.
Pourtant, l'affaire n'était pas gagnée d'avance, avec la désorganisation dans les ports et les problèmes d'approvisionnement en bouteilles de verre. D'ailleurs, à ce propos, le vin sud-africain s'exporte désormais majoritairement en vrac.
Le Royaume-Uni est toujours la première destination, à l'étranger, des cépages austraux, suivi des États-Unis, de l'Allemagne, du Canada et de la Chine.
En Afrique, ce sont les Nigérians, les Kényans et les Tanzaniens qui boivent le plus de vin sud-africain.
La filière qui fait vivre 300 000 personnes et gonfle les recettes extérieures du pays, monte en gamme, chaque année, et se vante, aujourd'hui, de proposer des vins de qualité, plus rémunérateurs… de quoi préserver la huitième place mondiale qu'occupe l'Afrique du Sud au palmarès des vins.