Des inondations et débordements du fleuve Sénégal pourraient survenir selon un bulletin spécial d’alerte du centre régional Agrymeth (Cra). En effet, des prévisions météorologiques du font intertropical (Fit) pour le mois d’août parlent d’une situation de débordement pouvant se produire sur le bassin du fleuve Sénégal. Pour cause, « d’importantes précipitations sur les pays du Sahel » sont attendues.
Ainsi, les quantités de pluie dans ces zones augmenteront considérablement allant de 65millimètres (mm) à 100mm. Mais le communiqué rendu public par le Cra précise que « cette quantité augmentera localement en variant entre 125mm et 150mm en Guinée, au Mali, sur le du Burkina Faso et le sud ouest du Niger notamment au début de la deuxième décade du mois d’août ». Et tout comme le Sénégal, le bassin du fleuve Niger pourrait voir « ces apports pluviométriques accentuaient la montée des eaux, voire le débordement du fleuve et de ses affluents ».
Le Cra avertit : « le taux de remplissage des barrages tels que celui de Bagré et de Kompienga au Bukina Faso doit être surveillé pour avertir à temps les autorités ghanéennes sur les lâchées d’eau pouvant provoquer des inondations dans les régions du nord du Ghana comme ce fut le cas des années précédentes ».
Ainsi, les quantités de pluie dans ces zones augmenteront considérablement allant de 65millimètres (mm) à 100mm. Mais le communiqué rendu public par le Cra précise que « cette quantité augmentera localement en variant entre 125mm et 150mm en Guinée, au Mali, sur le du Burkina Faso et le sud ouest du Niger notamment au début de la deuxième décade du mois d’août ». Et tout comme le Sénégal, le bassin du fleuve Niger pourrait voir « ces apports pluviométriques accentuaient la montée des eaux, voire le débordement du fleuve et de ses affluents ».
Le Cra avertit : « le taux de remplissage des barrages tels que celui de Bagré et de Kompienga au Bukina Faso doit être surveillé pour avertir à temps les autorités ghanéennes sur les lâchées d’eau pouvant provoquer des inondations dans les régions du nord du Ghana comme ce fut le cas des années précédentes ».