«Les premières investigations ont été déjà entamées et Son Excellence le président de la République doit observer un repos pour poursuivre ses examens», a annoncé Rachid Bougherbal directeur du Centre algérien de la médecine sportive. Il s’agit d’un «accident ischémique transitoire sans séquelles», affirme le même professeur dans un communiqué publié par l’APS (Algérie Presse Service). « L’accident ischémique transitoire (AIT) « n’a pas duré longtemps » et l’affection est « réversible » et « régresse » sans laisser de « lésions séculaires », a-t-il assuré. Le chef de l’Etat doit « compléter » son bilan et « récupérer un peu de la fatigue occasionnée par cette affection » », précise le même communiqué de l’APS.
Tout de suite après avoir subi samedi dernier à 12h30 cet accident, Abdelaziz Bouteflika a été transféré en fin d’après-midi à Paris pour y effectuer des examens complémentaires, sur recommandations de ses médecins traitants. « C’est la première fois depuis le fameux «ulcère hémorragique» qui avait nécessité une longue hospitalisation du chef de l’Etat à l’hôpital du Val-de-Grâce, à Paris, en 2005, que la santé du Président fait l’objet d’une communication officielle », écrit le journal El Watan. Et d’ajouter qu’ « on ne pouvait pas faire passer sous silence ses nouveaux ennuis de santé du fait que le président de la République est tenu de pointer mercredi au stade du 5 Juillet pour assister à la finale de la Coupe d’Algérie de football(…) C’est un cas de force majeur qui a dû obliger les hauts responsables à communiquer même avec des pointillés… », Peut-on lire dans un article publié le dimanche toujours par El Watan.
Ce même article dévoile que l’hospitalisation du président confirme « tout haut », ce que tous les algériens « d’en bas suspectaient : le président de la République est bien malade et sa santé constitue, visiblement, un frein à l’exercice de son pouvoir». Pour le Soir d’Algérie « lâché par sa santé », Bouteflika « a dû commencer par s’abstenir d’effectuer les longs voyages à l’étranger, rompant ainsi avec un activisme débordant qui l’avait auparavant mené dans tous les forums et conférences, aux quatre coins du monde ». Pour l’auteur de cet article publié par le Soir d’Algérie, même à l’intérieur les activités du président se sont vues à la baisse. « Une baisse de rythme de plus en plus marquée au fil des années, frisant l’incapacité ces derniers mois. L’engourdissement politique, chez lui, depuis sa reconduction pour la troisième fois de suite au Palais d’El-Mouradia... L’approche de la présidentielle de 2014 le trouve quasiment omnipotent, du moins absent, se réservant aux seules obligations protocolaires, déléguant tantôt Bensalah, tantôt Belaïz pour le représenter à l’étranger et chargeant le Premier ministre Sellal d’aller à la rencontre des populations locales ».
La dernière apparition publique du Président Abdelaziz Bouteflika fut au cimetière El Alia où il avait assisté le 18 avril à l’enterrement de l’ex-président du Haut-Comité d’Etat (HCE), Ali Kafi.
Tout de suite après avoir subi samedi dernier à 12h30 cet accident, Abdelaziz Bouteflika a été transféré en fin d’après-midi à Paris pour y effectuer des examens complémentaires, sur recommandations de ses médecins traitants. « C’est la première fois depuis le fameux «ulcère hémorragique» qui avait nécessité une longue hospitalisation du chef de l’Etat à l’hôpital du Val-de-Grâce, à Paris, en 2005, que la santé du Président fait l’objet d’une communication officielle », écrit le journal El Watan. Et d’ajouter qu’ « on ne pouvait pas faire passer sous silence ses nouveaux ennuis de santé du fait que le président de la République est tenu de pointer mercredi au stade du 5 Juillet pour assister à la finale de la Coupe d’Algérie de football(…) C’est un cas de force majeur qui a dû obliger les hauts responsables à communiquer même avec des pointillés… », Peut-on lire dans un article publié le dimanche toujours par El Watan.
Ce même article dévoile que l’hospitalisation du président confirme « tout haut », ce que tous les algériens « d’en bas suspectaient : le président de la République est bien malade et sa santé constitue, visiblement, un frein à l’exercice de son pouvoir». Pour le Soir d’Algérie « lâché par sa santé », Bouteflika « a dû commencer par s’abstenir d’effectuer les longs voyages à l’étranger, rompant ainsi avec un activisme débordant qui l’avait auparavant mené dans tous les forums et conférences, aux quatre coins du monde ». Pour l’auteur de cet article publié par le Soir d’Algérie, même à l’intérieur les activités du président se sont vues à la baisse. « Une baisse de rythme de plus en plus marquée au fil des années, frisant l’incapacité ces derniers mois. L’engourdissement politique, chez lui, depuis sa reconduction pour la troisième fois de suite au Palais d’El-Mouradia... L’approche de la présidentielle de 2014 le trouve quasiment omnipotent, du moins absent, se réservant aux seules obligations protocolaires, déléguant tantôt Bensalah, tantôt Belaïz pour le représenter à l’étranger et chargeant le Premier ministre Sellal d’aller à la rencontre des populations locales ».
La dernière apparition publique du Président Abdelaziz Bouteflika fut au cimetière El Alia où il avait assisté le 18 avril à l’enterrement de l’ex-président du Haut-Comité d’Etat (HCE), Ali Kafi.