Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, en décembre 2012.
Aucune image d'Abdelaziz Bouteflika n'a été diffusée depuis le 27 avril dernier. Seuls quelques communiqués écrits attribués au chef de l'Etat ont cherché à rassurer, sans forcément y parvenir.
Un premier texte dans lequel le président félicite par avance les vainqueurs de la 49e Coupe nationale de football, puis un autre dans lequel il dit son respect pour la presse algérienne et instaure le 22 octobre, Journée nationale pour la liberté de la presse.
Spéculations
En l'absence de bulletin de santé depuis le 27 avril, la presse algérienne, en est réduite à s'interroger, à spéculer ou à relayer les vagues informations données par les officiels, qui se contentent le plus souvent de dire qu'Abdelaziz Bouteflika va bien.
En fin de semaine dernière le quotidien El Watan avait titré « C'est grave, les fonctions vitales seraient atteintes ». Le soir d'Algérie s'interrogeait lui ce week-end : « A t-il rechuté ? Quand reviendra t-il au pays ? »
C'est généralement la visite d'un chef d'Etat étranger qui permet de couper court aux rumeurs et de confirmer le retour du chef de l'Etat en Algérie, via des photos, plusieurs mois parfois après son épisode de maladie. Mais pour l'heure, aucun visiteur de marque n'est venu, et le secret sur l'Etat de santé du président reste bien gardé.
Source : Rfi.fr
Un premier texte dans lequel le président félicite par avance les vainqueurs de la 49e Coupe nationale de football, puis un autre dans lequel il dit son respect pour la presse algérienne et instaure le 22 octobre, Journée nationale pour la liberté de la presse.
Spéculations
En l'absence de bulletin de santé depuis le 27 avril, la presse algérienne, en est réduite à s'interroger, à spéculer ou à relayer les vagues informations données par les officiels, qui se contentent le plus souvent de dire qu'Abdelaziz Bouteflika va bien.
En fin de semaine dernière le quotidien El Watan avait titré « C'est grave, les fonctions vitales seraient atteintes ». Le soir d'Algérie s'interrogeait lui ce week-end : « A t-il rechuté ? Quand reviendra t-il au pays ? »
C'est généralement la visite d'un chef d'Etat étranger qui permet de couper court aux rumeurs et de confirmer le retour du chef de l'Etat en Algérie, via des photos, plusieurs mois parfois après son épisode de maladie. Mais pour l'heure, aucun visiteur de marque n'est venu, et le secret sur l'Etat de santé du président reste bien gardé.
Source : Rfi.fr