En Algérie, le chômage touche 20% de jeunes. GETTYImages
Ils étaient plusieurs centaines de chômeurs, surtout des jeunes, à manifester hier dimanche 8 janvier dans trois villes du pays. A Ouargla et Laghouat dans le sud, là où sont exploités les gisements d’hydrocarbures du pays, mais aussi à Skikda dans le nord, le port par lequel est exportée une grande partie de la production de pétrole.
Les jeunes de ces régions ne supportent plus d’être laissés à l’écart de la manne des hydrocarbures qui représentent 40 % du PIB du pays, alors que dans le même temps, le chômage touche plus de 20 % des jeunes, selon les chiffres officiels. Les salariés des entreprises nationales ou étrangères, qui travaillent dans ces régions, viennent en effet le plus souvent du nord du pays, et sur place, le malaise grandit.
Ce n’est pas la première fois que ces chômeurs du sud manifestent leur colère, ces derniers mois. Plusieurs ministres sont venus avec leurs lots de promesses. Mais les chômeurs dénoncent les passe-droits et la corruption dans l’administration, responsable de la politique de l’emploi. Cette fois, ils jurent d’observer un sit-in, jusqu’à ce qu’ils obtiennent du travail.
Source: RFI
Les jeunes de ces régions ne supportent plus d’être laissés à l’écart de la manne des hydrocarbures qui représentent 40 % du PIB du pays, alors que dans le même temps, le chômage touche plus de 20 % des jeunes, selon les chiffres officiels. Les salariés des entreprises nationales ou étrangères, qui travaillent dans ces régions, viennent en effet le plus souvent du nord du pays, et sur place, le malaise grandit.
Ce n’est pas la première fois que ces chômeurs du sud manifestent leur colère, ces derniers mois. Plusieurs ministres sont venus avec leurs lots de promesses. Mais les chômeurs dénoncent les passe-droits et la corruption dans l’administration, responsable de la politique de l’emploi. Cette fois, ils jurent d’observer un sit-in, jusqu’à ce qu’ils obtiennent du travail.
Source: RFI