L’urgence, selon le maire de Guédiawaye, ce n’est pas qui va se présenter à la prochaine élection présidentielle. C’est plutôt de faire en sorte que le candidat de l’Alliance pour la république (Apr) la remporte. Et ceci ne peut se faire qu’avec «l’élargissement et le renforcement des bases du parti». Selon lui, ce débat de candidature ne préoccupe son parti : «Ce sont surtout nos alliés du gouvernement qui parlent de candidature. Le débat sur la présidentielle est tellement sérieux qu’il ne doit pas tourner autour d’une personne», a déclaré le président de l’Association des maires du Sénégal (Ams).
Aliou Sall, par ailleurs coordonnateur de l’Apr à Guédiawaye trouve que présenter un candidat à la prochaine échéance électorale est un exercice de liberté et que chaque parti est libre de l’exercer : «Tout un chacun a la latitude de se présenter et sans bruit. Aujourd’hui, Dieu a fait que nous sommes dans le gouvernement et à l’Assemblée nationale avec nos alliés du Ps, de l’Afp, et d’autres formations politiques. Mais ce n’est pas une obligation pour ses partis de dire qu’ils iront aux élections avec Macky Sall», a-t-il déclaré. Ce qui fait que : «chacun est libre de se présenter, mais il appartient aux électeurs d’élire le président de la République».
Le frère du président de la République s’est également prononcé sur une coalition de l’opposition qui serait en gestation pour affirmer qu’il n’y croit pas trop : «En réalité, ces leaders de l’opposition sont en train de marchander au cas où il y aurait un deuxième tour. Car je ne vois pas une personne parmi eux qui pourrait gagner les élections, et ce au premier tour»
Aliou Sall, par ailleurs coordonnateur de l’Apr à Guédiawaye trouve que présenter un candidat à la prochaine échéance électorale est un exercice de liberté et que chaque parti est libre de l’exercer : «Tout un chacun a la latitude de se présenter et sans bruit. Aujourd’hui, Dieu a fait que nous sommes dans le gouvernement et à l’Assemblée nationale avec nos alliés du Ps, de l’Afp, et d’autres formations politiques. Mais ce n’est pas une obligation pour ses partis de dire qu’ils iront aux élections avec Macky Sall», a-t-il déclaré. Ce qui fait que : «chacun est libre de se présenter, mais il appartient aux électeurs d’élire le président de la République».
Le frère du président de la République s’est également prononcé sur une coalition de l’opposition qui serait en gestation pour affirmer qu’il n’y croit pas trop : «En réalité, ces leaders de l’opposition sont en train de marchander au cas où il y aurait un deuxième tour. Car je ne vois pas une personne parmi eux qui pourrait gagner les élections, et ce au premier tour»