Résoudre la question de la transparence dans l’exploitation des ressources minières des pays africains est primordiale pour la stabilité de ces derniers. C’est la conviction de Alioune Tine qui présidait ce mardi le lancement de l’atelier sur «les Défis et opportunités de la gouvernance transparente, équitable, inclusive et respectueuse de l’environnement».
Cet atelier organisé par Afrikajom en partenariat avec le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (Cosce), l’organisation 3D et la Plateforme des acteurs non étatiques a permis aux différents participants de se pencher sur les risques que représentent lesdites ressources si leur exploitation se fait dans une opacité totale, sans que les populations locales ne puissent bénéficier des rentes.
«D’abord la transparence est une question importante dans la mesure où la plupart du temps, les Etats africains, qui sont des Etats qui n’ont pas les moyens et l’expertise, peuvent difficilement savoir ce qu’ils ont comme ressources», a expliqué Alioune Tine fondateur d’Afrijom.
M. Tine, par ailleurs Directeur d’Amnesty international pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre se veut clair. Les problèmes qui peuvent découler de la mauvaise exploitation de ces richesses peuvent avoir des répercussions désastreuses sur les Etats y compris le Sénégal qui va bientôt entrer dans le cercle des pays producteurs et exportateurs de pétrole.
«Aucun pays africain n’est à l’abri de cette maladie y compris le Sénégal. L’impact également de l’extraction des ressources n’est pas sans effet sur les plans économique et écologique », soutient-il. Parmi ces risques figurent le Syndrome hollandais qui consiste «à négliger les autres ressources qu’on a à cause du pétrole», d’ignorer les impacts négatives que peuvent avoir l’exploitation de ces ressources sur l’environnement, notamment sur les ressources halieutiques entre autres.
Cet atelier organisé par Afrikajom en partenariat avec le Collectif des organisations de la société civile pour les élections (Cosce), l’organisation 3D et la Plateforme des acteurs non étatiques a permis aux différents participants de se pencher sur les risques que représentent lesdites ressources si leur exploitation se fait dans une opacité totale, sans que les populations locales ne puissent bénéficier des rentes.
«D’abord la transparence est une question importante dans la mesure où la plupart du temps, les Etats africains, qui sont des Etats qui n’ont pas les moyens et l’expertise, peuvent difficilement savoir ce qu’ils ont comme ressources», a expliqué Alioune Tine fondateur d’Afrijom.
M. Tine, par ailleurs Directeur d’Amnesty international pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre se veut clair. Les problèmes qui peuvent découler de la mauvaise exploitation de ces richesses peuvent avoir des répercussions désastreuses sur les Etats y compris le Sénégal qui va bientôt entrer dans le cercle des pays producteurs et exportateurs de pétrole.
«Aucun pays africain n’est à l’abri de cette maladie y compris le Sénégal. L’impact également de l’extraction des ressources n’est pas sans effet sur les plans économique et écologique », soutient-il. Parmi ces risques figurent le Syndrome hollandais qui consiste «à négliger les autres ressources qu’on a à cause du pétrole», d’ignorer les impacts négatives que peuvent avoir l’exploitation de ces ressources sur l’environnement, notamment sur les ressources halieutiques entre autres.