Pour améliorer l’environnement social mais aussi économique du Sénégal, le CONGAD a proposé, dans le cadre du dialogue national de ce samedi quelques pistes. C’est ce qui est sorti d’un communiqué rendant compte de ses interventions lors de cette séance.
A ce tire, l’organisation propose aux acteurs de prendre en compte les points suivants : «la fonction de régulation de l’Etat dans le jeu économique national pour l’émergence d’un état moderne, impartial et facilitateur ; la promotion d’une concertation plurielle et dynamique en favorisant de nouveaux mécanismes du dialogue corporatif tels que l’organisation des assises de la société civile du Sénégal ; la nécessité de promouvoir les concertations entre le secteur privé et la société civile, en travaillant autour d’instruments de gouvernance de certains secteurs sensibles de l’économie de notre pays comme les industries extractives, à l’image du Ghana qui dispose d’une charte consensuelle de gestion des ressources pétrolières », peut-on lire dans le document.
En plus de ces propositions Amacodou Diouf et Cie ont aussi évoqué : «l’impérieuse nécessité de procéder à la revue du mode de financement du développement national basé sur la coopération bi et multilatérale».
Le CONGAD qui se propose de participer aux termes de références de ce document, relève que «l’existence de ces groupes de travail suppose une décentralisation de la participation citoyenne du point de vue spatial, au niveau de toutes les régions et de la diaspora».
A ce tire, l’organisation propose aux acteurs de prendre en compte les points suivants : «la fonction de régulation de l’Etat dans le jeu économique national pour l’émergence d’un état moderne, impartial et facilitateur ; la promotion d’une concertation plurielle et dynamique en favorisant de nouveaux mécanismes du dialogue corporatif tels que l’organisation des assises de la société civile du Sénégal ; la nécessité de promouvoir les concertations entre le secteur privé et la société civile, en travaillant autour d’instruments de gouvernance de certains secteurs sensibles de l’économie de notre pays comme les industries extractives, à l’image du Ghana qui dispose d’une charte consensuelle de gestion des ressources pétrolières », peut-on lire dans le document.
En plus de ces propositions Amacodou Diouf et Cie ont aussi évoqué : «l’impérieuse nécessité de procéder à la revue du mode de financement du développement national basé sur la coopération bi et multilatérale».
Le CONGAD qui se propose de participer aux termes de références de ce document, relève que «l’existence de ces groupes de travail suppose une décentralisation de la participation citoyenne du point de vue spatial, au niveau de toutes les régions et de la diaspora».