La présidente du collectif des victimes et parents de victimes des violences électorales qui l’interpelle sur la question, Rokhy Gassama ne manque pas de préciser.
« Le ministre qui gérait le dossier, c’était le ministre de la justice qui a fait quand même une bonne entrée c’est-à-dire qui nous avait bien accueilli bien soutenu dans notre action te aujourd’hui nous attendons Me Sidiki Kaba qui est un défenseur des droits humains et qui nous espérons en tout cas qu’il va réagir par rapport à ce dossier assez lent et c’est sur ça que nous aimerions que le gouvernement fasse quelque chose vraiment beaucoup plus d’action et beaucoup plus de réactivité et au-delà de ça, il ya la commission que l’Etat a mis en place et il nous avait informé parque les victimes sont quand même dans un désarroi total. On ne peut les laisser tels qu’ils sont aujourd’hui avec tous les problèmes qu’ils rencontrent que ce soient problèmes de santé, psychologiques, financiers ou de famille, etc. », sur les ondes de la Rfm.