«Qu’on le veuille ou non, Abdoulaye Wade a été un allié extraordinaire, n’eût été sa volonté politique, on n’en serait pas là, aujourd’hui. Il s’était engagé à faire avancer les femmes et à faciliter l’accès au crédit, il l’a fait. Il croyait en la parité », a-t-elle dit avant de prévenir les manipulateurs.
« Tous les hommes politiques qui utilisent les femmes pour l’électorat se trompent, il faut que les sénégalais sachent que ce n’est pas parce que vous allez donner des crédits aux femmes qu’elles voteront pour vous. Si c’était le cas, Abdoulaye Wade n’aurait jamais quitter ce pouvoir. Les femmes sont suffisamment intelligentes aujourd’hui pour obtenir dans un jeu d'interaction politique en période électorale, ce qu’elles veulent avoir», s’est appesantie la sociologue qui a, par la suite, invité l’actuel chef de l’Etat, Macky Sall qui s’était déjà engagé en 2005 à « faire en sorte que les femmes accèdent à l’armée et qu’elles puissent prendre en charge leur conjoint », à être « ce même allié » que l’ancien président. Même si selon elle, dans un « espace politique avec des groupes hétéroclites, il y a des forces contraires qui peuvent exister ». Des forces contre lesquelles, Fatou Sow Sarr, a appellé les femmes, à "la vigilance".
Critique envers les femmes qui sont représentées à hauteur de 23 places seuelment sur les 120 membres au niveau du Conseil Economique, Social et Environnemental, (CESE), elle a clairement laissé entendre à ses dernières qu'elles auraient dû "se lever dés le début au moment où Hélène Tine a posé la question au niveau de l'Assemblée nationale" mais, à la place, "ce sont des femmes qui doivent leur poste de députées gràce à la parité, qui l'ont combattues".
Mettant en exergue l’exemple du Sénégal dans la sous-région et au niveau mondial en terme de représentation des femmes à hauteur de 43 % à l’Assemblée Nationale, la directrice de Panos Afrique de l’Ouest, Diana Senghor n’a pas manqué d’alerter sur des « disparités vertigineuses » au niveau du « paysage médiatique".
« Tous les hommes politiques qui utilisent les femmes pour l’électorat se trompent, il faut que les sénégalais sachent que ce n’est pas parce que vous allez donner des crédits aux femmes qu’elles voteront pour vous. Si c’était le cas, Abdoulaye Wade n’aurait jamais quitter ce pouvoir. Les femmes sont suffisamment intelligentes aujourd’hui pour obtenir dans un jeu d'interaction politique en période électorale, ce qu’elles veulent avoir», s’est appesantie la sociologue qui a, par la suite, invité l’actuel chef de l’Etat, Macky Sall qui s’était déjà engagé en 2005 à « faire en sorte que les femmes accèdent à l’armée et qu’elles puissent prendre en charge leur conjoint », à être « ce même allié » que l’ancien président. Même si selon elle, dans un « espace politique avec des groupes hétéroclites, il y a des forces contraires qui peuvent exister ». Des forces contre lesquelles, Fatou Sow Sarr, a appellé les femmes, à "la vigilance".
Critique envers les femmes qui sont représentées à hauteur de 23 places seuelment sur les 120 membres au niveau du Conseil Economique, Social et Environnemental, (CESE), elle a clairement laissé entendre à ses dernières qu'elles auraient dû "se lever dés le début au moment où Hélène Tine a posé la question au niveau de l'Assemblée nationale" mais, à la place, "ce sont des femmes qui doivent leur poste de députées gràce à la parité, qui l'ont combattues".
Mettant en exergue l’exemple du Sénégal dans la sous-région et au niveau mondial en terme de représentation des femmes à hauteur de 43 % à l’Assemblée Nationale, la directrice de Panos Afrique de l’Ouest, Diana Senghor n’a pas manqué d’alerter sur des « disparités vertigineuses » au niveau du « paysage médiatique".