«On a eu une série de rencontres sur les problèmes de gouvernance, et chacune de ces rencontres s’est terminée par des résolutions fortes et la toute première résolution, c’était de dire que plus jamais, sur les questions qui concernent la communauté, le recteur ne peut prendre une décision unilatérale sans concertation », a déclaré Cheikh Diop, le chargé de communication du Saes, section Ziguinchor lors de leur point de presse organisé pour «alerter l’opinion sur les dérives du recteur de leur université».
Revenant sur l’objet de leur courroux, M. Diop explique que tout est parti de l’annulation de l’élection du vice-recteur chargé de de la recherche, de la coopération et des relations avec le monde professionnel. Et, ajoute-t-il, ce vote s’est déroulé dans les règles puisqu’’il a été organisé suite à la décision de leur Conseil d’administration tenu le 21 décembre 2016 qui avait mandaté l’administration pour organiser ce vote.
Mais, poursuit-il «La toute première note qui est sortie de l’administration pour l’exécution de cette injonction même du Conseil d’administration, c’est une note qui change complètement les règles. On devait voter sur les mêmes règles à partir du décret de 2008 qui est notre Constitution aujourd’hui, mais la première note parlant du collège électoral avait tout changé».
Ce fait qu’ils avaient contesté a poussé l’administration à revenir à de meilleurs sentiments et l’élection a pu se tenir. Mais, après le dépouillement, relate le chargé de communication, le recteur avait changé la donne en publiant une note «parlant de dissolution presque totale du Conseil d’administration ».
Chose qu’ils ne comptent pas laisser passer. Car, martèle M. Diop, ce changement ne fait pas partie des prérogatives de leur recteur.
Revenant sur l’objet de leur courroux, M. Diop explique que tout est parti de l’annulation de l’élection du vice-recteur chargé de de la recherche, de la coopération et des relations avec le monde professionnel. Et, ajoute-t-il, ce vote s’est déroulé dans les règles puisqu’’il a été organisé suite à la décision de leur Conseil d’administration tenu le 21 décembre 2016 qui avait mandaté l’administration pour organiser ce vote.
Mais, poursuit-il «La toute première note qui est sortie de l’administration pour l’exécution de cette injonction même du Conseil d’administration, c’est une note qui change complètement les règles. On devait voter sur les mêmes règles à partir du décret de 2008 qui est notre Constitution aujourd’hui, mais la première note parlant du collège électoral avait tout changé».
Ce fait qu’ils avaient contesté a poussé l’administration à revenir à de meilleurs sentiments et l’élection a pu se tenir. Mais, après le dépouillement, relate le chargé de communication, le recteur avait changé la donne en publiant une note «parlant de dissolution presque totale du Conseil d’administration ».
Chose qu’ils ne comptent pas laisser passer. Car, martèle M. Diop, ce changement ne fait pas partie des prérogatives de leur recteur.