Le gouvernement n’a finalement pas entendu l’appel de l’opposition qui lui demandait, lundi, de proroger la date limite de la révision des listes électorales. En effet, désormais, ceux qui ne se sont pas inscrits sur le fichier ne pourront pas participer au choix du dirigeant du Sénégal en 2019.
Et pourtant, lundi soir, sous prétexte que «traditionnellement, la campagne pour les révisions exceptionnelles des listes électorales se déroulait entre février et juillet », l’opposition avait demandé à l’Etat d’aller jusqu’à cette date, pour permettre «aux milliers de Sénégalais devant les commissions d’inscription», à pouvoir disposer du sésame.
Mais, le gouvernement a fait la sourde oreille car, malgré les commissions assaillies par les Sénégalais dans la journée d’hier et ce jusqu’à 23h59, aucune note faisant état d’un rallongement de la date fixée n’est parvenue aux autorités administratives locales. Ce qui s’est transmis par la désolation qui se lisait sur les visages, à l’annonce de l’arrêt de l’enrôlement.
Et pourtant, lundi soir, sous prétexte que «traditionnellement, la campagne pour les révisions exceptionnelles des listes électorales se déroulait entre février et juillet », l’opposition avait demandé à l’Etat d’aller jusqu’à cette date, pour permettre «aux milliers de Sénégalais devant les commissions d’inscription», à pouvoir disposer du sésame.
Mais, le gouvernement a fait la sourde oreille car, malgré les commissions assaillies par les Sénégalais dans la journée d’hier et ce jusqu’à 23h59, aucune note faisant état d’un rallongement de la date fixée n’est parvenue aux autorités administratives locales. Ce qui s’est transmis par la désolation qui se lisait sur les visages, à l’annonce de l’arrêt de l’enrôlement.