«Landing est de bonne volonté, mais nous ne pouvons pas l’accepter parce qu’il est dans un camp. Ces propos sont de Me Abdoulaye Wade qui se prononçait sur la proposition du leader d’Aj/Pads de jouer le rôle de médiateur dans le dialogue qui doit se nouer entre l’opposition et le pouvoir.
Le chef de file des libéraux est d’avis que l’impartialité qui sied dans ce genre de discussion ne peut pas âtre assurée par le «Folliste », car : «Aujourd’hui, Landing Savané que je considère comme mon petit frère, avec qui j’ai lutté pendant des années dans l’opposition, ne peut pas venir dire qu’il va être un médiateur entre Macky Sall et moi, entre le Oui et le Non. S’il est dans le camp du Oui, il ne peut pas arbitrer».
Mais, même s’il est partie prenante d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition, Me Wade précise que son parti n’est pas demandeur : «Le Pds n’est pas demandeur pour discuter avec Macky Sall, il faut que ce soit clair. Nous sommes des démocrates et pour nous, dans une démocratie, le gouvernement gouverne et l’opposition s’oppose. Tout ce que nous voulons, c’est que le président de la République et ses partisans respectent nos droits d’opposants», réclame-t-il.
Le chef de file des libéraux est d’avis que l’impartialité qui sied dans ce genre de discussion ne peut pas âtre assurée par le «Folliste », car : «Aujourd’hui, Landing Savané que je considère comme mon petit frère, avec qui j’ai lutté pendant des années dans l’opposition, ne peut pas venir dire qu’il va être un médiateur entre Macky Sall et moi, entre le Oui et le Non. S’il est dans le camp du Oui, il ne peut pas arbitrer».
Mais, même s’il est partie prenante d’un dialogue entre le pouvoir et l’opposition, Me Wade précise que son parti n’est pas demandeur : «Le Pds n’est pas demandeur pour discuter avec Macky Sall, il faut que ce soit clair. Nous sommes des démocrates et pour nous, dans une démocratie, le gouvernement gouverne et l’opposition s’oppose. Tout ce que nous voulons, c’est que le président de la République et ses partisans respectent nos droits d’opposants», réclame-t-il.