L’information a été confirmée par le département d’État la semaine dernière : lors de son point presse hebdomadaire, le porte-parole de la diplomatie des États Unis, Ned Price, a affirmé que la reconnaissance de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental « reste la position de l'administration » du président Joe Biden. « Pas de changement » donc par rapport à la décision de Donald Trump de soutenir Rabat sur la question.
Washington affirme également être en faveur « d’un processus politique crédible dirigé par l'ONU pour garantir la cessation des hostilités ». « Nous consultons les parties, nous consultons d'autres gouvernements de la région et au-delà, sur la meilleure façon de mettre un terme à la violence et parvenir à un règlement durable de ce conflit », a expliqué Ned Price qui insiste sur le besoin de nommer rapidement d’un envoyé spécial pour le Sahara occidental.
Vendredi dernier, le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio Guterres a justement appelé le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario à accepter le prochain candidat qu'il leur proposera. Depuis 2019, le poste d’envoyé spécial de l’ONU est vacant, 13 candidats ont déjà été recalés.
Washington affirme également être en faveur « d’un processus politique crédible dirigé par l'ONU pour garantir la cessation des hostilités ». « Nous consultons les parties, nous consultons d'autres gouvernements de la région et au-delà, sur la meilleure façon de mettre un terme à la violence et parvenir à un règlement durable de ce conflit », a expliqué Ned Price qui insiste sur le besoin de nommer rapidement d’un envoyé spécial pour le Sahara occidental.
Vendredi dernier, le Secrétaire Général des Nations Unies, Antonio Guterres a justement appelé le Maroc et les indépendantistes du Front Polisario à accepter le prochain candidat qu'il leur proposera. Depuis 2019, le poste d’envoyé spécial de l’ONU est vacant, 13 candidats ont déjà été recalés.