Le candidat des Forces Alliées Libérales (FAL/2012) était ce jeudi l’hôte de Tivaouane pour, dit-il, solliciter des prières dans le cadre du second tour de la Présidentielle prévu le 25 mars prochain. Même s’il a obtenu les prières, allant jusqu’à se prosterner au mausolée de Serigne Babacar Sy, aucune consigne de vote n’a cependant été donnée en sa faveur par la famille religieuse.
Me Abdoulaye Wade est d’ailleurs longuement revenu sur les relations privilégiées qu’il a toujours eues - selon son propos - avec les familles de Serigne Ababacar Sy, Serigne Abdoul Aziz Sy « Al Ibn », Serigne Abdoul Aziz Sy "Dabakh" et Serigne Mansour Sy "Borrom Daradji".
Pour Abdoul Aziz Sy « Al Ibn », des relations étroites ont été tissées entre lui et Me Abdoulaye Wade depuis 1963, année de l’incarcération de Cheikh Tidjane Sy et dont Me Abdoulaye Wade était l’avocat. Nonobstant le manque de consigne de vote en sa faveur, Me Abdoulaye Wade s’est montré totalement confiant, quant à l’issue de la compétition électorale du 25 mars. Selon lui, « ceux qui n’avaient pas voté lors du premier tour par peur du climat de violence qui était brandi par l’opposition, se rendront massivement aux urnes pour exprimer leur soutien à sa candidature ». Il ajoute que « c’est par vagues que les électeurs qui avaient voté pour les candidats de l’opposition viennent (le) voir pour le soutenir au second tour et (il) reste parfois jusqu’à 4 H pour recevoir les uns et les autres.
Cheikh A. NIANG (Thiesinfo pour APPEL)
Me Abdoulaye Wade est d’ailleurs longuement revenu sur les relations privilégiées qu’il a toujours eues - selon son propos - avec les familles de Serigne Ababacar Sy, Serigne Abdoul Aziz Sy « Al Ibn », Serigne Abdoul Aziz Sy "Dabakh" et Serigne Mansour Sy "Borrom Daradji".
Pour Abdoul Aziz Sy « Al Ibn », des relations étroites ont été tissées entre lui et Me Abdoulaye Wade depuis 1963, année de l’incarcération de Cheikh Tidjane Sy et dont Me Abdoulaye Wade était l’avocat. Nonobstant le manque de consigne de vote en sa faveur, Me Abdoulaye Wade s’est montré totalement confiant, quant à l’issue de la compétition électorale du 25 mars. Selon lui, « ceux qui n’avaient pas voté lors du premier tour par peur du climat de violence qui était brandi par l’opposition, se rendront massivement aux urnes pour exprimer leur soutien à sa candidature ». Il ajoute que « c’est par vagues que les électeurs qui avaient voté pour les candidats de l’opposition viennent (le) voir pour le soutenir au second tour et (il) reste parfois jusqu’à 4 H pour recevoir les uns et les autres.
Cheikh A. NIANG (Thiesinfo pour APPEL)