Après que le mandataire de la famille du défunt khalife ait accusé le chef de l’Etat d’être en connivence avec Aliko Dangote dans ce brûlant dossier, le chef du gouvernement s’est rendu à Touba pour édifier Serigne Sidi Makhtar Mbacké sur la position impartiale de l’Etat et du président de la République dans ce conflit. « Au-delà du ziar que je tenais à effectuer auprès de votre auguste personne dans le but de bénéficier de vos prières et de votre soutien pour mériter la confiance portée en moi par son Excellence le président Macky Sall, je suis porteuse de son message », a indiqué selon « L’observateur » Aminata Touré qui a tenté tout de même de mettre sa visite dans le cadre d’une tournée à effectuer auprès de tous les chefs religieux.
Relevant néanmoins la coïncidence entre son premier déplacement à Touba et la sortie de Serigne Moustapha Saliou, le premier ministre fait savoir au khalife que « ce message est sans nul doute relatif aux déballages émanent d’un marabout de Touba relatif au litige foncier de Pout dont vous avez certainement eu vent. En fait, concernant cette affaire, je suis bien placée pour en parler ».
Mimi Touré qui a rappelé au marabout son passage au ministère de la Justice, s’est premise de jurer qu’ « aucune immixtion de l’Etat n’était notée dans la gestion de ce dossier ». « Nous avons toujours laissé la justice faire son travail et d’ailleurs pour tout autre dossier pendant devant les juridictions. C’est la même attitude que nous avons observée pour ce cas précis », a éclairé l’ancien garde des Seaux.
Relevant néanmoins la coïncidence entre son premier déplacement à Touba et la sortie de Serigne Moustapha Saliou, le premier ministre fait savoir au khalife que « ce message est sans nul doute relatif aux déballages émanent d’un marabout de Touba relatif au litige foncier de Pout dont vous avez certainement eu vent. En fait, concernant cette affaire, je suis bien placée pour en parler ».
Mimi Touré qui a rappelé au marabout son passage au ministère de la Justice, s’est premise de jurer qu’ « aucune immixtion de l’Etat n’était notée dans la gestion de ce dossier ». « Nous avons toujours laissé la justice faire son travail et d’ailleurs pour tout autre dossier pendant devant les juridictions. C’est la même attitude que nous avons observée pour ce cas précis », a éclairé l’ancien garde des Seaux.