«Notre association n’a aucune forme de sympathie ou de solidarité, nous condamnons avec la plus grande vigueur cet attitude qui consiste à se refuser dans un autre pays pour insulter le Sénégal à travers ses institutions ou bien à travers d’autres personnes. Nous croyons que ce n’est pas courageux» déclare le président de l’association dite des sénégalais d’Amérique.
Ibrahima Sow, de poursuivre : «nous trouvons que les Réseaux sociaux ne doivent pas être une zone où chacun peut se permettre de faire ce qu’il veut».
S’agissant du cas d’Assane Diouf, il soutient : «s’il est évalué et qu’on se rend compte qu’il jouit de ses facultés mentales, nous trouvons que c’est quelqu’un qui doit être châtié de la manière la plus sévère parce qu’il y a rien qui justifie qu’une personne se mette à insulter les gens sans aucune raison».
Toutefois, ladite association dénonce le rapatriement des compatriotes qui vivaient aux Etats-Unis, «de tout bord qu’il puisse être».
«La raison qui explique cela est, qu’aux Etats-Unis il y a d’autres nationalités qui n’ont pas été rapatriées. L’autre raison est que si l’on se met à rapatrier les Sénégalais, avec les lois en vigueur depuis l’arrivée de la nouvelle administration, c’est une boite à pandore qui est ouverte et c’est beaucoup de Sénégalais qui peuvent potentiellement être rapatriés», informe Ibrahima Sow joint par la RFM.
Ibrahima Sow, de poursuivre : «nous trouvons que les Réseaux sociaux ne doivent pas être une zone où chacun peut se permettre de faire ce qu’il veut».
S’agissant du cas d’Assane Diouf, il soutient : «s’il est évalué et qu’on se rend compte qu’il jouit de ses facultés mentales, nous trouvons que c’est quelqu’un qui doit être châtié de la manière la plus sévère parce qu’il y a rien qui justifie qu’une personne se mette à insulter les gens sans aucune raison».
Toutefois, ladite association dénonce le rapatriement des compatriotes qui vivaient aux Etats-Unis, «de tout bord qu’il puisse être».
«La raison qui explique cela est, qu’aux Etats-Unis il y a d’autres nationalités qui n’ont pas été rapatriées. L’autre raison est que si l’on se met à rapatrier les Sénégalais, avec les lois en vigueur depuis l’arrivée de la nouvelle administration, c’est une boite à pandore qui est ouverte et c’est beaucoup de Sénégalais qui peuvent potentiellement être rapatriés», informe Ibrahima Sow joint par la RFM.