Le journal Libération a annoncé ce jeudi 19 septembre l'arrestation d'un commerçant sénégalais, suite à une plainte de la prestigieuse marque Louis Vitton. Il n'en est rien, d'après l'intéressé qui a été joint par PressAfrik. Serigne Ndiaye, puisque c'est de lui qu'il s'agit, affirme être encore sous le choc, en voyant son supposé emprisonnement au pays de l'Oncle Sam. "Depuis ce matin, on m'appelle de partout. Mes proches sont très inquiets. Il y en même qui se sont évanouis à la diffusion de la fausse nouvelle. Je suis encore sous le choc", tonne d'abord le monsieur.
Ensuite Ndiaye d'expliquer: "Ce qui s'est passé, c'est que vendredi dernier, la police de New-York a fait une descente des plus habituelles à Canal Street pour réquisitionner quelques articles de la marque Louis Vitton dans certaines. Je n'étais même pas sur les lieux. C'est après qu'on m'a rendu compte du passage de la police. J'ai entendu dire qu'il y avait des arrestations. Au moment des faits, j'étais en train de conduire mon taxi".
Selon le commerçant Serigne Ndiaye, qui fait aussi du taxi, la diffusion de cette Fake-news a des soubassements politiques. Parce que, dit-il, il est représentant de Khalifa Sall aux Etats-Unis. "J'ai contacté mon avocat, qui est en train de tracer la provenance de cette fausse nouvelle. Je crois savoir de qui elle vient. Mais qu'il se détrompe. Cela ne peut pas nuire à mon image", a-t-il confié à PressAfrik.
Ensuite Ndiaye d'expliquer: "Ce qui s'est passé, c'est que vendredi dernier, la police de New-York a fait une descente des plus habituelles à Canal Street pour réquisitionner quelques articles de la marque Louis Vitton dans certaines. Je n'étais même pas sur les lieux. C'est après qu'on m'a rendu compte du passage de la police. J'ai entendu dire qu'il y avait des arrestations. Au moment des faits, j'étais en train de conduire mon taxi".
Selon le commerçant Serigne Ndiaye, qui fait aussi du taxi, la diffusion de cette Fake-news a des soubassements politiques. Parce que, dit-il, il est représentant de Khalifa Sall aux Etats-Unis. "J'ai contacté mon avocat, qui est en train de tracer la provenance de cette fausse nouvelle. Je crois savoir de qui elle vient. Mais qu'il se détrompe. Cela ne peut pas nuire à mon image", a-t-il confié à PressAfrik.