Il a par la suite été inculpé de participation à un rassemblement illégal et écroué, rapporte un photographe de Reuters. Kizza Besigye avait déjà été interpellé et accusé cette semaine d'incitation à la violence lors de manifestations contre les hausses de prix, puis remis en liberté sous caution.
Le photographe a vu quatre policiers en civil pousser Besigye, le grand adversaire du président sortant Yoweri Museveni lors des élections de février dernier, dans un fourgon de police, ce qui a provoqué des remous parmi ses partisans.
"Tout ce que je peux dire, c'est qu'il est entre nos mains. Il avait rassemblé une foule et quand elle a commencé à s'agiter, nous sommes intervenus, avons décidé de l'arrêter et de rétablir l'ordre", a dit un porte-parole de la police.
En février, lorsqu'il avait battu Kizza Besigye pour la troisième fois consécutive à une élection présidentielle, le président Museveni avait averti son rival qu'il ne l'autoriserait pas à prendre la tête de manifestations.
Le photographe a vu quatre policiers en civil pousser Besigye, le grand adversaire du président sortant Yoweri Museveni lors des élections de février dernier, dans un fourgon de police, ce qui a provoqué des remous parmi ses partisans.
"Tout ce que je peux dire, c'est qu'il est entre nos mains. Il avait rassemblé une foule et quand elle a commencé à s'agiter, nous sommes intervenus, avons décidé de l'arrêter et de rétablir l'ordre", a dit un porte-parole de la police.
En février, lorsqu'il avait battu Kizza Besigye pour la troisième fois consécutive à une élection présidentielle, le président Museveni avait averti son rival qu'il ne l'autoriserait pas à prendre la tête de manifestations.