Arrêté le mardi 1er mai pour ses nombreuses sorties informant de la grève des détenus de Rebeuss, de Thiès et de Diourbel, Ibrahima Sall est depuis lors en prison. L’administration pénitentiaire souhaite obtenir des explications sur ses sources d’informations et de financement, informe la RFM.
Pour la Coalition sénégalaise des défenseurs des droits huamains (COSEDDH), cette arrestation est une violation des droits humains : «nous dénonçons cette interpellation qui est une violation flagrante de plusieurs textes onusiens et africains. Le fait de recevoir des informations quelles que soient leurs sources, diffuser ces informations ne devrait pas être un prétexte pour violer les droits d’une personne».
Seydi Gassama de poursuivre : «brahima Sall a reçu des informations qu’il a divulguées et si les informations ne sont pas avérées, il faut faire un démenti. Mais vouloir utiliser le fait qu’il a divulgué des informations pour l’arrêter et le mettre en prison, c’est inacceptable», lâche-t-il.
Pour la Coalition sénégalaise des défenseurs des droits huamains (COSEDDH), cette arrestation est une violation des droits humains : «nous dénonçons cette interpellation qui est une violation flagrante de plusieurs textes onusiens et africains. Le fait de recevoir des informations quelles que soient leurs sources, diffuser ces informations ne devrait pas être un prétexte pour violer les droits d’une personne».
Seydi Gassama de poursuivre : «brahima Sall a reçu des informations qu’il a divulguées et si les informations ne sont pas avérées, il faut faire un démenti. Mais vouloir utiliser le fait qu’il a divulgué des informations pour l’arrêter et le mettre en prison, c’est inacceptable», lâche-t-il.