Encore un autre sénégalais tué à Bangui, un autre dans le coma et l’Etat refuse de rapatrier nos compatriotes restés à Bangui. Horizon sans frontières demande à travers un communiqué parvenu à notre rédaction la démission du ministre des sénégalais de l’extérieur.
Le ministre des affaires étrangères avec un budget de plus de 52 milliards vient de déclarer que l’état du Sénégal n’a pas les moyens de rapatrier ces sénégalais en souffrance à Bangui et demande de l’aide à l’OIM.
Horizon sans frontières estime que cet aveu de taille est non seulement un échec de l’Etat du sénégalais dans le dossier migratoire mais aussi un manque de respect au peuple sénégalais qui ne demande qu’a être édifié sur ce sujet. « On nous dit que l’Etat n’ a pas prévu cela alors qu’on nous dit ce l’Etat du Sénégal a vraiment prévu avec ce budget. » se demande-t-il.
Par conséquent « nous demandons tout simplement la suppression de ce ministère des sénégalais de l’extérieur qui n’a plus sa raison d’être vu le silence coupable des autorités sénégalaises sur les assassinats sans cesse récurrents de nos compatriotes à l’étranger et l’absence d’une véritable politique migratoire capable de les prendre en charge » a-t-il poursuivi.
Le ministre des affaires étrangères avec un budget de plus de 52 milliards vient de déclarer que l’état du Sénégal n’a pas les moyens de rapatrier ces sénégalais en souffrance à Bangui et demande de l’aide à l’OIM.
Horizon sans frontières estime que cet aveu de taille est non seulement un échec de l’Etat du sénégalais dans le dossier migratoire mais aussi un manque de respect au peuple sénégalais qui ne demande qu’a être édifié sur ce sujet. « On nous dit que l’Etat n’ a pas prévu cela alors qu’on nous dit ce l’Etat du Sénégal a vraiment prévu avec ce budget. » se demande-t-il.
Par conséquent « nous demandons tout simplement la suppression de ce ministère des sénégalais de l’extérieur qui n’a plus sa raison d’être vu le silence coupable des autorités sénégalaises sur les assassinats sans cesse récurrents de nos compatriotes à l’étranger et l’absence d’une véritable politique migratoire capable de les prendre en charge » a-t-il poursuivi.