Le régime du Président Macky Sall use abusivement des pouvoirs que lui confère la Constitution. C’est la conviction de Woré Sarr et Cie qui se sont réunies à la permanence Oumar Lamine Badji. Selon elle, les libertés individuelles courent un grand risque avec les nombreuses arrestations constatées.
«Nous dénonçons l’arrestation encore arbitraire de notre Secrétaire général national adjoint, après celle de notre candidat Karim Meïssa Wade et vingt-cinq autres responsables politiques. Nous dénonçons aussi la violation des articles 61 de la Constitution du Sénégal et 52 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale de même que la détention illégale et le non-respect de l’immunité parlementaire du député Oumar Sarr en pleine session parlementaire», ont-elles fustigé.
Selon elles, le Sénégal n’a jamais été confronté à cette situation où les opposants sont emprisonnés à outrance. ce qu’elles constatent avec : «La gravité de la situation politique nationale consacrée par la confiscation des libertés individuelles et du droit d’expression, les violations flagrantes de la Constitution, des lois et traités internationaux et la séquestration d’Oumar Sarr qui n’a fait que reprendre les propos du journal le Monde relayés par toute la presse nationale».
Ces «violations des libertés » ont poussé ces femmes libérales à «appeler toutes les forces vives de la nations à se mobiliser pour mettre fin à la confiscation des libertés, au recul démocratique, l’instrumentalisation de la justice, aux arrestations arbitraires ainsi qu’à toutes les dérives du régime actuel».
«Nous dénonçons l’arrestation encore arbitraire de notre Secrétaire général national adjoint, après celle de notre candidat Karim Meïssa Wade et vingt-cinq autres responsables politiques. Nous dénonçons aussi la violation des articles 61 de la Constitution du Sénégal et 52 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale de même que la détention illégale et le non-respect de l’immunité parlementaire du député Oumar Sarr en pleine session parlementaire», ont-elles fustigé.
Selon elles, le Sénégal n’a jamais été confronté à cette situation où les opposants sont emprisonnés à outrance. ce qu’elles constatent avec : «La gravité de la situation politique nationale consacrée par la confiscation des libertés individuelles et du droit d’expression, les violations flagrantes de la Constitution, des lois et traités internationaux et la séquestration d’Oumar Sarr qui n’a fait que reprendre les propos du journal le Monde relayés par toute la presse nationale».
Ces «violations des libertés » ont poussé ces femmes libérales à «appeler toutes les forces vives de la nations à se mobiliser pour mettre fin à la confiscation des libertés, au recul démocratique, l’instrumentalisation de la justice, aux arrestations arbitraires ainsi qu’à toutes les dérives du régime actuel».