Le ministre de la Santé et de l'Hygiène Publique a présenté et défendu avec succès le projet de budget 2026 de son département devant la représentation nationale. Après avoir exposé les réalisations probantes de 2025 et les huit objectifs majeurs de la Couverture Santé Universelle (CSU) , incluant le relèvement du plateau technique, l'élimination des décès évitables et la relance de l'industrie pharmaceutique locale, le ministre a reçu les félicitations des députés. Toutefois, la séance a été marquée par de vives préoccupations de la part des parlementaires concernant l'offre de soins sur l'ensemble du territoire.
Les parlementaires ont fortement insisté sur la nécessité de combler les lacunes de la carte sanitaire. Ils ont notamment plaidé pour la construction d'EPS de niveau 3 à Tambacounda et la construction d'hôpitaux de niveau 3 à Bignona et Ziguinchor, la construction d'hôpitaux à Bakel, Mbacké, Daroul Mouhty, Médina Sabakh, et un nouvel hôpital d'envergure à Bambey, mais aussi l'érection du centre de santé de Malicounda en hôpital et la réfection du service de néonatalogie de Linguère.
Un point majeur des interventions fut la cherté des soins et la qualité de l'accueil, particulièrement aux urgences, avec l'interpellation du ministre sur le décès tragique d'un nouveau-né devant l'hôpital de Diourbel.
En réponse, Dr Ibrahima Sy a rassuré sur la prise en compte des suggestions et a détaillé les réformes en cours, notamment la révision du Code de la Santé et de la carte sanitaire, ainsi que la réforme hospitalière.
Il a souligné des avancées concrètes avec l'ouverture progressive de l'Hôpital El Hadji Malick SY de Tivaouane dès ce mois de décembre, la réhabilitation du service de néonatologie de Linguère, des saisies de faux-médicaments d'une valeur de 4,2 milliards de FCFA entre 2024 et 2025, l'annonce de la construction prochaine de l'EPS de Bakel et de l'EPS de niveau 3 de Kaolack. Il y a la mise en place d'une nouvelle grille tarifaire des actes hospitaliers et la révision de la loi hospitalière pour s'adapter aux réalités socio-économiques.
Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba a, de son côté, insisté sur la nécessité de nouvelles stratégies de financement, notamment l'intégration des investissements privés pour compléter l'effort budgétaire, soulignant une augmentation réelle des crédits du ministère de la Santé pour 2026 (environ 38,6 milliards de FCFA) malgré des transferts de programmes.
Les parlementaires ont fortement insisté sur la nécessité de combler les lacunes de la carte sanitaire. Ils ont notamment plaidé pour la construction d'EPS de niveau 3 à Tambacounda et la construction d'hôpitaux de niveau 3 à Bignona et Ziguinchor, la construction d'hôpitaux à Bakel, Mbacké, Daroul Mouhty, Médina Sabakh, et un nouvel hôpital d'envergure à Bambey, mais aussi l'érection du centre de santé de Malicounda en hôpital et la réfection du service de néonatalogie de Linguère.
Un point majeur des interventions fut la cherté des soins et la qualité de l'accueil, particulièrement aux urgences, avec l'interpellation du ministre sur le décès tragique d'un nouveau-né devant l'hôpital de Diourbel.
En réponse, Dr Ibrahima Sy a rassuré sur la prise en compte des suggestions et a détaillé les réformes en cours, notamment la révision du Code de la Santé et de la carte sanitaire, ainsi que la réforme hospitalière.
Il a souligné des avancées concrètes avec l'ouverture progressive de l'Hôpital El Hadji Malick SY de Tivaouane dès ce mois de décembre, la réhabilitation du service de néonatologie de Linguère, des saisies de faux-médicaments d'une valeur de 4,2 milliards de FCFA entre 2024 et 2025, l'annonce de la construction prochaine de l'EPS de Bakel et de l'EPS de niveau 3 de Kaolack. Il y a la mise en place d'une nouvelle grille tarifaire des actes hospitaliers et la révision de la loi hospitalière pour s'adapter aux réalités socio-économiques.
Le ministre des Finances et du Budget, Cheikh Diba a, de son côté, insisté sur la nécessité de nouvelles stratégies de financement, notamment l'intégration des investissements privés pour compléter l'effort budgétaire, soulignant une augmentation réelle des crédits du ministère de la Santé pour 2026 (environ 38,6 milliards de FCFA) malgré des transferts de programmes.