«Il y a d’énormes difficultés des fois de pouvoir identifier les organisations de la société civile qui, un jour se retrouvent dans la société civile, demain dans les partis politiques, après-demain dans un gouvernement», a déclaré Amacodou Diouf, président du Conseil d’administration du Congad.
Et, explique-t-il, c’est toute l’importance des discussions qui se sont tenues ce week-end à Kaolack : «Donc c’est une excellente opportunité que les assises nous offrent de pouvoir discuter de tout cela et d’avoir un code de bonne conduite».
Selon lui, ces assises sont une chance de pouvoir repartir sur de nouvelles bases, en renforçant notamment les «bonnes initiatives » prises par des éléments de la société civile et de se détourner des mauvaises.
Et, explique-t-il, c’est toute l’importance des discussions qui se sont tenues ce week-end à Kaolack : «Donc c’est une excellente opportunité que les assises nous offrent de pouvoir discuter de tout cela et d’avoir un code de bonne conduite».
Selon lui, ces assises sont une chance de pouvoir repartir sur de nouvelles bases, en renforçant notamment les «bonnes initiatives » prises par des éléments de la société civile et de se détourner des mauvaises.