Tico Tatoo, le tatoueur des parties intimes des jeunes filles a été reconnu coupable des faits qui lui ont été reprochés. Ainsi il écope d'une peine de 1 mois ferme et d'une amende de 1 million 500 mille FCFA.
C'est à la suite de l’apparition des vidéos de filles montrant des tatouages sur leurs parties intimes dans certains sites internes, que le parquet s’est autosaisi. Et une enquête ouverte par la section de recherche de la gendarmerie en envoyant ses éléments infiltrés en l’occurrence une femme gendarme pour faire le tatouage, a permis de mettre la main sur l’auteur de la publication qui n’est autre que Ndiougou Diop, alias Tico.
Attrait devant la barre du tribunal de Dakar statuant en matière de flagrant délit ce mardi, Tico a indexé les sites internet qui ont divulgué les vidéos qu’il juge « intimes » car selon lui, il les a publié dans son Instagram et son Snapchat.
Malgré ces déclarations, le procureur de la République a noté que la matérialité des faits ne souffre d’aucun doute, car les vidéos ont été distribuées. Le caractère contraire aux bonnes mœurs de ces photos et vidéos, est avéré.
Sur ce, il a requis une peine de 2 ans fermes, et une amende d’1 millions 500 mille FCFA.
Un réquisitoire que son avocat Me Padono a fustigé. Selon lui, « aucune victime ne s’est présentée au tribunal. C’est un tatoueur qui a comme support de modèles le corps humain. Et c’est quelqu’un qui n’avait pas compris que son support n’était pas le bon ».
Par conséquent, il a demandé à ce qu’on lui tende la perche en lui infligeant une peine assortie de sursis.
Après délibération, le tribunal a condamné, Tico, à une peine d’un (1) an dont 1 mois ferme et à une amende de 1 millions 500 mille CFA.
C'est à la suite de l’apparition des vidéos de filles montrant des tatouages sur leurs parties intimes dans certains sites internes, que le parquet s’est autosaisi. Et une enquête ouverte par la section de recherche de la gendarmerie en envoyant ses éléments infiltrés en l’occurrence une femme gendarme pour faire le tatouage, a permis de mettre la main sur l’auteur de la publication qui n’est autre que Ndiougou Diop, alias Tico.
Attrait devant la barre du tribunal de Dakar statuant en matière de flagrant délit ce mardi, Tico a indexé les sites internet qui ont divulgué les vidéos qu’il juge « intimes » car selon lui, il les a publié dans son Instagram et son Snapchat.
Malgré ces déclarations, le procureur de la République a noté que la matérialité des faits ne souffre d’aucun doute, car les vidéos ont été distribuées. Le caractère contraire aux bonnes mœurs de ces photos et vidéos, est avéré.
Sur ce, il a requis une peine de 2 ans fermes, et une amende d’1 millions 500 mille FCFA.
Un réquisitoire que son avocat Me Padono a fustigé. Selon lui, « aucune victime ne s’est présentée au tribunal. C’est un tatoueur qui a comme support de modèles le corps humain. Et c’est quelqu’un qui n’avait pas compris que son support n’était pas le bon ».
Par conséquent, il a demandé à ce qu’on lui tende la perche en lui infligeant une peine assortie de sursis.
Après délibération, le tribunal a condamné, Tico, à une peine d’un (1) an dont 1 mois ferme et à une amende de 1 millions 500 mille CFA.