Dimanche soir, Sajid et Naveed Akram, un père et son fils, ont ouvert le feu à au moins 40 reprises, pendant une dizaine de minutes, sur la foule rassemblée sur la plage de Bondi pour la fête juive de Hanouka.
Si les autorités avaient rapidement qualifié l’attentat d’antisémite, elles n'avaient toutefois pas encore précisé les motivations des assaillants.
Ce mardi, Anthony Albanese a livré de premières indications laissant penser que les deux hommes s’étaient radicalisés avant l’attaque. « Il semblerait que cela ait été motivé par l’idéologie de l’État islamique », a déclaré le chef du gouvernement à la chaîne nationale ABC. Le fils, sorti du coma ce mardi matin, est actuellement interrogé par la police. Son père a été, quant à lui, abattu par la police lors de l'attaque.
Enquête sur un voyage aux Philippines
Le véhicule retrouvé près de la plage de Bondi, immatriculé au nom du fils, contenait « deux drapeaux de l’État islamique confectionnés à la main » et des engins explosifs improvisés, a indiqué mardi Mal Lanyon, responsable de la police de Nouvelle-Galles du Sud.
Les enquêteurs s’intéressent également à un voyage à Mindanao, aux Philippines, effectué par le père et le fils un mois avant les faits. « Les raisons pour lesquelles ils sont allés aux Philippines, l’objectif de ce déplacement et les lieux qu’ils ont visités font actuellement l’objet d’une enquête », a précisé Mal Lanyon.
Le sud de l’archipel abrite des foyers extrémistes liés à des attentats jihadistes. Le père s'y serait rendu avec un passeport indien et son fils, avec un document australien, avant de suivre un entraînement de type militaire, a indiqué une source antiterroriste à la chaîne ABC.
Si les autorités avaient rapidement qualifié l’attentat d’antisémite, elles n'avaient toutefois pas encore précisé les motivations des assaillants.
Ce mardi, Anthony Albanese a livré de premières indications laissant penser que les deux hommes s’étaient radicalisés avant l’attaque. « Il semblerait que cela ait été motivé par l’idéologie de l’État islamique », a déclaré le chef du gouvernement à la chaîne nationale ABC. Le fils, sorti du coma ce mardi matin, est actuellement interrogé par la police. Son père a été, quant à lui, abattu par la police lors de l'attaque.
Enquête sur un voyage aux Philippines
Le véhicule retrouvé près de la plage de Bondi, immatriculé au nom du fils, contenait « deux drapeaux de l’État islamique confectionnés à la main » et des engins explosifs improvisés, a indiqué mardi Mal Lanyon, responsable de la police de Nouvelle-Galles du Sud.
Les enquêteurs s’intéressent également à un voyage à Mindanao, aux Philippines, effectué par le père et le fils un mois avant les faits. « Les raisons pour lesquelles ils sont allés aux Philippines, l’objectif de ce déplacement et les lieux qu’ils ont visités font actuellement l’objet d’une enquête », a précisé Mal Lanyon.
Le sud de l’archipel abrite des foyers extrémistes liés à des attentats jihadistes. Le père s'y serait rendu avec un passeport indien et son fils, avec un document australien, avant de suivre un entraînement de type militaire, a indiqué une source antiterroriste à la chaîne ABC.