Cette décision est le résultat d’une réunion du Secrétariat permanent (Sp) tenue ce vendredi au siège de l’Adie. Le président du Sp, Khassoum Wone, n’a pas hésité de se réjouir du fait que « l’utilisation des relevés biométriques pour identifier les agents de l’Etat constitue une première dans l’histoire de notre pays ».
Pour lui (M. Wone), « la biométrie constitue assurément l’unique manière de régler durablement les problèmes récurrents de présences de doublons et de discordances notés sur les fichiers du personnel de l’Etat.
Pour cette mission, le même journal informe que 105 mille 700 fonctionnaires sont concernés pour l’instant. « Ce fichier de pré-initialisation servira de base au travail d’audit sur le terrain », précise le président du Secrétariat permant (Sp).
Pour lui (M. Wone), « la biométrie constitue assurément l’unique manière de régler durablement les problèmes récurrents de présences de doublons et de discordances notés sur les fichiers du personnel de l’Etat.
Pour cette mission, le même journal informe que 105 mille 700 fonctionnaires sont concernés pour l’instant. « Ce fichier de pré-initialisation servira de base au travail d’audit sur le terrain », précise le président du Secrétariat permant (Sp).