L’examen du baccalauréat a officiellement démarré ce mardi 1er juillet dans l’académie de Kolda (sud), avec un total de 5635 candidats, dont 2889 filles. Cette forte représentation féminine traduit une tendance encourageante vers la réduction des disparités de genre dans le système éducatif local.
Répartis dans 14 centres d’examen, sous la supervision de 18 jurys, les candidats ont entamé les épreuves écrites dans le calme et la sérénité. À l’issue d’une tournée de supervision effectuée dans plusieurs centres de la ville de Kolda, le Secrétaire général de l’Inspection d’Académie, Aliou Touré, s’est montré rassurant : « Toutes les dispositions ont été prises pour un déroulement sans incident. Les premières épreuves se sont ouvertes dans de bonnes conditions », a-t-il déclaré.
La présence féminine se fait également remarquer dans les séries scientifiques. En série S1 notamment, les filles dominent : elles représentent 13 des 23 candidats inscrits, confirmant ainsi leur percée dans des filières longtemps restées majoritairement masculines.
Par ailleurs, l’académie a rappelé avec fermeté l’interdiction formelle des objets connectés dans l’enceinte des centres d’examen. Aliou Touré a insisté sur cette mesure visant à garantir l’équité et la transparence des épreuves : « Aucun candidat ne doit avoir sur lui un téléphone ou tout autre appareil connecté. La rigueur sera de mise dans l’application de cette consigne ».
Les autorités éducatives locales espèrent que cette session 2025 se poursuivra dans le même climat d’ordre et de discipline.
Répartis dans 14 centres d’examen, sous la supervision de 18 jurys, les candidats ont entamé les épreuves écrites dans le calme et la sérénité. À l’issue d’une tournée de supervision effectuée dans plusieurs centres de la ville de Kolda, le Secrétaire général de l’Inspection d’Académie, Aliou Touré, s’est montré rassurant : « Toutes les dispositions ont été prises pour un déroulement sans incident. Les premières épreuves se sont ouvertes dans de bonnes conditions », a-t-il déclaré.
La présence féminine se fait également remarquer dans les séries scientifiques. En série S1 notamment, les filles dominent : elles représentent 13 des 23 candidats inscrits, confirmant ainsi leur percée dans des filières longtemps restées majoritairement masculines.
Par ailleurs, l’académie a rappelé avec fermeté l’interdiction formelle des objets connectés dans l’enceinte des centres d’examen. Aliou Touré a insisté sur cette mesure visant à garantir l’équité et la transparence des épreuves : « Aucun candidat ne doit avoir sur lui un téléphone ou tout autre appareil connecté. La rigueur sera de mise dans l’application de cette consigne ».
Les autorités éducatives locales espèrent que cette session 2025 se poursuivra dans le même climat d’ordre et de discipline.