« Les subventions au secteur de l’énergie sont passées de 150 milliards FCFA en 2021 à 750 milliards en 2022, soit 23% des recettes budgétaires propres de l’Etat. Et en l’absence d’une telle mesure, ces subventions allaient atteindre 800 milliards FCFA en 2023, soit plus que les recettes attendues de l’exploitation du pétrole », a-t-il rappelé.
Selon Mesmin Koulet-Vickot, l’année dernière, l’Etat a dû couper 150 milliards dans les dépenses d’investissement pour « maintenir les prix de l’énergie, contribuant ainsi creuser le déficit budgétaire à 6%, alors que ces subventions profitent à 80% à la classe aisée ».
A l’en croire, « tous ceux qui sont épris de justice et d’équité et qui sont préoccupés par le niveau d’endettement du pays devraient applaudir cette décision du gouvernement qui va dans le bon sens », a estimé Mesmin Koulet-Vickot, espérant que la mesure permettra au Sénégal de garder sa signature sur le marché financier international.
Ainsi, il reconnaît que l’approbation du Conseil d’administration du FMI de l’Icpe était d’une certaine façon « conditionnée aux mesures annoncées par le gouvernement concernant le secteur de l’énergie ».
Selon Mesmin Koulet-Vickot, l’année dernière, l’Etat a dû couper 150 milliards dans les dépenses d’investissement pour « maintenir les prix de l’énergie, contribuant ainsi creuser le déficit budgétaire à 6%, alors que ces subventions profitent à 80% à la classe aisée ».
A l’en croire, « tous ceux qui sont épris de justice et d’équité et qui sont préoccupés par le niveau d’endettement du pays devraient applaudir cette décision du gouvernement qui va dans le bon sens », a estimé Mesmin Koulet-Vickot, espérant que la mesure permettra au Sénégal de garder sa signature sur le marché financier international.
Ainsi, il reconnaît que l’approbation du Conseil d’administration du FMI de l’Icpe était d’une certaine façon « conditionnée aux mesures annoncées par le gouvernement concernant le secteur de l’énergie ».