La Crse a entamé des discussions avec la Senelec pour concrétiser le vœu du chef de l’Etat de baisser de 10% le prix de l’électricité et ce, dans les meilleurs délais. C’est ce qui est ressorti du point de presse organisé ce matin par son président pour se prononcer sur les possibilités de l’entrée en vigueur de cette mesure.
Cependant, de l’avis d’Ibrahima Sarr, cette décision nécessite l’élaboration au préalable d’une nouvelle grille tarifaire de la Senelec qui sera soumise pour approbation à la Crse.
Mais, indique-t-il, des discussions ont déjà été entamées pour rendre effective cette baisse qui doit entrer en vigueur durant le premier bimestre de cette années, entre les deux entités.
M. Sarr de rappeler qu’en 2016, le dernier revenu maximum autorisé de la société d’électricité était fixé à 331 milliards FCFA contre des recettes estimées à plus de 338 milliards.
Avant de conclure en informant que le chef de l’Etat a aussi décidé de réduire le coût de l’électricité dans les concessions en milieu rural en procédant à une harmonisation des tarifs sur le territoire national.
Cette décision a été prise au soir du 31 décembre 2016 par le chef de l’Etat, qui s’était basé la réduction du coût du combustible, mais aussi du lancement des centrales produisant de l’énergie renouvelable.
Cependant, de l’avis d’Ibrahima Sarr, cette décision nécessite l’élaboration au préalable d’une nouvelle grille tarifaire de la Senelec qui sera soumise pour approbation à la Crse.
Mais, indique-t-il, des discussions ont déjà été entamées pour rendre effective cette baisse qui doit entrer en vigueur durant le premier bimestre de cette années, entre les deux entités.
M. Sarr de rappeler qu’en 2016, le dernier revenu maximum autorisé de la société d’électricité était fixé à 331 milliards FCFA contre des recettes estimées à plus de 338 milliards.
Avant de conclure en informant que le chef de l’Etat a aussi décidé de réduire le coût de l’électricité dans les concessions en milieu rural en procédant à une harmonisation des tarifs sur le territoire national.
Cette décision a été prise au soir du 31 décembre 2016 par le chef de l’Etat, qui s’était basé la réduction du coût du combustible, mais aussi du lancement des centrales produisant de l’énergie renouvelable.