Très en verve lors de cette manifestation, le jeune libéral avait tout simplement taxé le chef de l'Etat de « traître, ingrat », de « candidat des homosexuels» à qui il aurait remis des passeports diplomatiques. Pis, d’«homo… » et scandé des slogans que la pudeur avait interdit à la presse de relayer, livre la RFM.
Ce, un mois à peine après avoir été convoqué pour les mêmes raisons, le 19 avril dernier.
Ce, un mois à peine après avoir été convoqué pour les mêmes raisons, le 19 avril dernier.