«Les dignitaires du Pds se sont mal comportés d’abord vis-à-vis des deniers publics, puis de l’autorité». Ces propos sont de Bara Ndiaye, le maire de Méouane, qui fustigeait le comportement des cadres du Parti démocratique sénégalais (Pds). Selon lui, leur comportement est indicateur de leur état d’esprit : «Ils ont prouvé à la face du monde qu’ils ne sont pas des hommes d’Etat et qu’ils ne sont pas dignes de demander à ce que les Sénégalais leur fasse confiance».
Très remonté contre Oumar Sarr qui avait déchiré l’arrêté préfectoral interdisant leur marche, l’administrateur de la Maison de la presse déclare : «Oumar Sarr doit maintenant assumer toutes les conséquences de son acte, nous sommes dans un pays de droit où personne ne doit se permettre ces écarts de comportement».
Revenant sur les responsables de l’Apr, l’édile de Méouane est d’avis qu’ils doivent descendre sur le terrain : «En ce qui concerne les responsables de l’Apr, l’urgence est d’aller sur le terrain, à la rencontre des populations pour partager les réalisations du président de la République et cesser les querelles de borne-fontaine qui ne mène nulle part. En tout cas, il y a des gens qui sont là, mais qui ne méritent pas d’être avec le président de la République. Ces gens-là, il faut les extirper», martèle-t-il.
Très remonté contre Oumar Sarr qui avait déchiré l’arrêté préfectoral interdisant leur marche, l’administrateur de la Maison de la presse déclare : «Oumar Sarr doit maintenant assumer toutes les conséquences de son acte, nous sommes dans un pays de droit où personne ne doit se permettre ces écarts de comportement».
Revenant sur les responsables de l’Apr, l’édile de Méouane est d’avis qu’ils doivent descendre sur le terrain : «En ce qui concerne les responsables de l’Apr, l’urgence est d’aller sur le terrain, à la rencontre des populations pour partager les réalisations du président de la République et cesser les querelles de borne-fontaine qui ne mène nulle part. En tout cas, il y a des gens qui sont là, mais qui ne méritent pas d’être avec le président de la République. Ces gens-là, il faut les extirper», martèle-t-il.