«Non au charbon» : ce slogan qui figure toujours sur les banderoles réaffirme le désir des populations de Bargny de lutter contre l’implantation des deux centrales à charbon dans leur localité. En effet ces populations sont d’avis que ces centrales, au nombre de deux, vont impacter sur leur bien-être : «le site choisi pour abriter ces installations n’est nulle part ailleurs qu’au cœur de notre communauté limitée de part et d’autre par le populeux quartier de Miname qui abrite, au Sud, en son sein, une école élémentaire, une case de santé, un jardin d’enfants et des cimetières fonctionnels», déclare Ibrahima Dieng, qui participait à la rencontre.
Le collectif, qui affirme qu’aucune audience publique pour valider ce projet n’a été tenue, et pourtant, selon lui, c’est la réglementation qui l’exige. Et pour accéder leur objectif, les populations de Bargny ont internationalisé le combat en déposant une plainte au niveau de l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde). Elles ont aussi la Banque africaine de développement, partenaire du projet.
La conférence de presse a été organisée par l’association «Takkom Jerry » et l'ONG Lumière, synergies au développement
Le collectif, qui affirme qu’aucune audience publique pour valider ce projet n’a été tenue, et pourtant, selon lui, c’est la réglementation qui l’exige. Et pour accéder leur objectif, les populations de Bargny ont internationalisé le combat en déposant une plainte au niveau de l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde). Elles ont aussi la Banque africaine de développement, partenaire du projet.
La conférence de presse a été organisée par l’association «Takkom Jerry » et l'ONG Lumière, synergies au développement