C’est un Barthélémy Dias d’attaque qui est sorti de la sale où ses collègues venaient de lui retirer son immunité parlementaire. En effet, soupçonnant un complot ourdi contre sa personne, le député de Benno bokk yaakaar rappelle les circonstances ayant conduits à la mort de Ndiaga Diouf.
Mais accuse-t-il, «certaines personnes veulent coute que coute me faire passer pour un meurtrier, je leur laisserai le soin de prouver que j’ai tué cet homme qui, je le rappelle, était en fait un nervi».
Allant plus loin, M. Dias martèle que : «M. Ndiaga Diouf n’était ni un docteur, ni un avocat, c’était un nervi qui était venu pour faire un sale besogne. Et je peux donner un seul argument à retenir, et à la veille du procès, je donnerai des preuves qu’il s’agissait d’une attaque à main armée commanditée par des hommes politiques de l’époque».
Et dans ce procès, l’édile de Mermoz/Sacré-Cœur ne compte pas se laisser faire. Car, a-t-il prévenu : «Je ne peux pas accepter d’être la victime et qu’on veuille me mettre au banc des accusés».
Mais accuse-t-il, «certaines personnes veulent coute que coute me faire passer pour un meurtrier, je leur laisserai le soin de prouver que j’ai tué cet homme qui, je le rappelle, était en fait un nervi».
Allant plus loin, M. Dias martèle que : «M. Ndiaga Diouf n’était ni un docteur, ni un avocat, c’était un nervi qui était venu pour faire un sale besogne. Et je peux donner un seul argument à retenir, et à la veille du procès, je donnerai des preuves qu’il s’agissait d’une attaque à main armée commanditée par des hommes politiques de l’époque».
Et dans ce procès, l’édile de Mermoz/Sacré-Cœur ne compte pas se laisser faire. Car, a-t-il prévenu : «Je ne peux pas accepter d’être la victime et qu’on veuille me mettre au banc des accusés».