Le commissaire central de Dakar communique, apaise et rassure. Il est sorti s’entretenir aux proches et politiques qui ont assiégé les locaux de la police en signe de témoignage au maire d’arrondissement de Mermoz-Sacré-cœur qui a fait l’objet d’attaque de nervis du PDS jeudi dernier et qui s’est soldé par la mort d’un homme.
«On est en train de faire notre travail. Quand on leur a parlé, ils ont compris la situation et promis de quitter les lieux et rentrer paisiblement chez eux et laisser la police et la justice faire son travail», a déclaré le commissaire Arona Sy à la presse (RFM). Selon lui, «Tant qu’on n’a pas fini l’interrogatoire, on ne peut pas savoir. Encore une fois une personne retenue ne veut pas dire qu’elle est coupable, une personne libérée ne veut pas dire qu’elle est innocente».
Le commissaire de la police centrale de Dakar de donner des gages : «je vous assure et honnêtement en toute intégrité, que les enquêteurs en toute liberté sont en train de faire leur travail. Ils me le soumettront et nous verrons ce qu’il y a lieu de faire. Il y a des enquêtes qui durent des mois mais celle-là nous espérons pouvoir la faire très rapidement parce qu’on agit en flagrant délit et là, il faut agir très vite».
«On est en train de faire notre travail. Quand on leur a parlé, ils ont compris la situation et promis de quitter les lieux et rentrer paisiblement chez eux et laisser la police et la justice faire son travail», a déclaré le commissaire Arona Sy à la presse (RFM). Selon lui, «Tant qu’on n’a pas fini l’interrogatoire, on ne peut pas savoir. Encore une fois une personne retenue ne veut pas dire qu’elle est coupable, une personne libérée ne veut pas dire qu’elle est innocente».
Le commissaire de la police centrale de Dakar de donner des gages : «je vous assure et honnêtement en toute intégrité, que les enquêteurs en toute liberté sont en train de faire leur travail. Ils me le soumettront et nous verrons ce qu’il y a lieu de faire. Il y a des enquêtes qui durent des mois mais celle-là nous espérons pouvoir la faire très rapidement parce qu’on agit en flagrant délit et là, il faut agir très vite».