L’Etat n’a toujours pas réagi après l’attaque survenue à Samik qui a fait un mort. L’âge de la victime, six ans, a pourtant suscité l’émoi de toute une population. Mais, de l’avis de Bassirou Kébé, cette lenteur est simplement due à la lourdeur administrative.
L’ancien directeur de la Protection des droits de l’enfance qui s’exprimait sur la Rfm explique que les charges qui sont dévolues à la Direction sont nombreuses et les moyens ne suivent pas. Ce qui fait que la direction est scindée en plusieurs autres directions. Du coup, la question de qui va régir se pose.
Mais, ajoute-t-il, le Directeur de la protection de la Petite enfance ne peut pas prendre seul l’initiative de réagir sans auparavant recueillir l’aval de son patron qui se trouve être le ministre.
A l’en croire, il urge d’avoir en Casamance, «un dispositif permanent de protection de l’enfance» qui sera chargée de sensibiliser les populations sur la nécessité de protéger les enfants, surtout dans une zone de guerre comme la Casamance.
Revenant sur les lenteurs, M. Kébé déclare qu’elles sont d’ordre structurel, financier, mais aussi administratif.
L’ancien directeur de la Protection des droits de l’enfance qui s’exprimait sur la Rfm explique que les charges qui sont dévolues à la Direction sont nombreuses et les moyens ne suivent pas. Ce qui fait que la direction est scindée en plusieurs autres directions. Du coup, la question de qui va régir se pose.
Mais, ajoute-t-il, le Directeur de la protection de la Petite enfance ne peut pas prendre seul l’initiative de réagir sans auparavant recueillir l’aval de son patron qui se trouve être le ministre.
A l’en croire, il urge d’avoir en Casamance, «un dispositif permanent de protection de l’enfance» qui sera chargée de sensibiliser les populations sur la nécessité de protéger les enfants, surtout dans une zone de guerre comme la Casamance.
Revenant sur les lenteurs, M. Kébé déclare qu’elles sont d’ordre structurel, financier, mais aussi administratif.