Le sculpteur Ousmane Gueye a présenté mardi ses œuvres au public dans le cadre de la 13ème édition de la Biennale des Arts Africains contemporains de Dakar. L'artiste a profité de l'occasion pour rappeler que les artistes doivent faire de sorte que le Sénégal, à l'instar des autres pays du nord, soit une destination privilégiée en matière d'art.
«L’art africain mérite, aujourd’hui, une place exceptionnelle dans le monde entier. Un tableau de Leonard de Vinci vient d’être vendu à 750 millions de $ et c’est un dessin. Picasso, Braque, Le Fauconnier ainsi que Maurice De Vlaming qui se sont inspirés de l’art contemporain, l’art africain et aujourd’hui, il y a 8 millions de visiteurs au Quai des à Paris. Et l’Afrique pourrait faire mieux », a avancé l’artiste Ousmane Guèye. Avant d’ajouter que : «Le Sénégal peut atteindre plus de 50 millions de personnes par an. La Jamaïque qui est un petit pays dépasse 20 millions de visiteurs par an ».
Revenant sur l’importance de la Biennale, il déclare que « Cet évènement n’est qu’une première. Le Sénégal en tant que pays de rêve peut même créer quelque chose de beaucoup plus important qu’une biennale».
Conscient du rôle qu'il doit jouer dans ce sens, Ousmane Gueye de rappeler qu'il compte marquer d'une pierre blanche son empreinte pour que les générations futures puissent en bénéficier: « mon rôle en tant qu’artiste, c’est de revenir au pays, de rester dans ce pays qui m’a tout donné et faire quelque chose qui fera qu’on se souviendra de nous quand nous ne serons plus là, qui puisse servir la future génération».
Venus contempler les œuvres artistiques d’Ousmane Guèye, l'ancien premier ministre et ancien président de la commission de l'UEMOA, Cheikh Adibou Soumaré a magnifié le travail des artistes sénégalais et l'organisation du vernissage.
«L’art africain mérite, aujourd’hui, une place exceptionnelle dans le monde entier. Un tableau de Leonard de Vinci vient d’être vendu à 750 millions de $ et c’est un dessin. Picasso, Braque, Le Fauconnier ainsi que Maurice De Vlaming qui se sont inspirés de l’art contemporain, l’art africain et aujourd’hui, il y a 8 millions de visiteurs au Quai des à Paris. Et l’Afrique pourrait faire mieux », a avancé l’artiste Ousmane Guèye. Avant d’ajouter que : «Le Sénégal peut atteindre plus de 50 millions de personnes par an. La Jamaïque qui est un petit pays dépasse 20 millions de visiteurs par an ».
Revenant sur l’importance de la Biennale, il déclare que « Cet évènement n’est qu’une première. Le Sénégal en tant que pays de rêve peut même créer quelque chose de beaucoup plus important qu’une biennale».
Conscient du rôle qu'il doit jouer dans ce sens, Ousmane Gueye de rappeler qu'il compte marquer d'une pierre blanche son empreinte pour que les générations futures puissent en bénéficier: « mon rôle en tant qu’artiste, c’est de revenir au pays, de rester dans ce pays qui m’a tout donné et faire quelque chose qui fera qu’on se souviendra de nous quand nous ne serons plus là, qui puisse servir la future génération».
Venus contempler les œuvres artistiques d’Ousmane Guèye, l'ancien premier ministre et ancien président de la commission de l'UEMOA, Cheikh Adibou Soumaré a magnifié le travail des artistes sénégalais et l'organisation du vernissage.
L’exposition a aussi été une occasion pour l'artiste peintre iranienne, Myriam Mohamadi Hadji, invitée d’Ousmane Guèye d'exposer ses œuvres. La chanteuse Rufisquoise Shoula Ndiaye aussi était de la partie et n'a pas manqué de gratifier l'assistance sur un air d'acoustic avec sa voix mielleuses et sa guitare de très belles prestations.