«En réponse aux interpellations des avocats de Karim Wade, le gouvernement du Sénégal vient d’avouer un mensonge d’Etat en faisant publier ce matin le rapport de la Banque Mondiale qui innocente Karim Wade et ses co-accusés et dont il a jusqu’ici caché l’existence», relève le communiqué des avocats de Karim Wade concernant l’innocence supposée de ce dernier dans l’affaire des biens mal-acquis dans laquelle il s’était vu condamné par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI).
Le document de relever que le rapport qui lave à grande eau leur client découle d’une initiative de l’Etat du Sénégal qui avait saisi la Banque Mondiale ainsi que l’Office des Nations-Unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Selon eux, ce rapport a, «au terme d’une enquête fouillée et minutieuse conclu à l’innocence de Karim Wade et de ses co-accusés».
Accusant «l’Etat du Sénégal et ses plus hautes autorités » d’avoir choisi «de confisquer et soustraire ce document essentiel à la procédure devant la CREI afin de mieux poursuivre le complot visant à tenter d’écarter le candidat du PDS à l’élection présidentielle de 2019», les avocats estiment que les décisions de la CREI sont nulles.
D’autant plus que, ajoutent-ils, «les conclusions de ce rapport de la Banque Mondiale, la décision des Nations Unies de déclarer illégale et arbitraire la détention de Karim Wade, le classement sans suite de la plainte de l’Etat du Sénégal à Paris pour «biens mal-acquis», le rejet de la demande de confiscation de l’Etat du Sénégal par la justice française», le démontrent aisément.
Et, informent-ils «notre client Karim Wade nous a chargés de verser ces nouveaux éléments dans le dossier de sa plainte pour détention arbitraire en France, afin que l’ensemble des personnes qui ont fait disparaître et caché l’existence de ce rapport pendant 5 ans, répondent de leurs actes».
Le document de relever que le rapport qui lave à grande eau leur client découle d’une initiative de l’Etat du Sénégal qui avait saisi la Banque Mondiale ainsi que l’Office des Nations-Unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Selon eux, ce rapport a, «au terme d’une enquête fouillée et minutieuse conclu à l’innocence de Karim Wade et de ses co-accusés».
Accusant «l’Etat du Sénégal et ses plus hautes autorités » d’avoir choisi «de confisquer et soustraire ce document essentiel à la procédure devant la CREI afin de mieux poursuivre le complot visant à tenter d’écarter le candidat du PDS à l’élection présidentielle de 2019», les avocats estiment que les décisions de la CREI sont nulles.
D’autant plus que, ajoutent-ils, «les conclusions de ce rapport de la Banque Mondiale, la décision des Nations Unies de déclarer illégale et arbitraire la détention de Karim Wade, le classement sans suite de la plainte de l’Etat du Sénégal à Paris pour «biens mal-acquis», le rejet de la demande de confiscation de l’Etat du Sénégal par la justice française», le démontrent aisément.
Et, informent-ils «notre client Karim Wade nous a chargés de verser ces nouveaux éléments dans le dossier de sa plainte pour détention arbitraire en France, afin que l’ensemble des personnes qui ont fait disparaître et caché l’existence de ce rapport pendant 5 ans, répondent de leurs actes».