Qu’à fait Macky Sall durant les trois premières années qu’il a passé à la tête du Sénégal ? C’est une question que l’on pourrait se poser si on suit le bilan qu’en a dressé Idrissa Seck. En effet, ce dernier, qui vient de boucler la première étape de sa tournée a listé les maux dont souffrent les Sénégalais.
«Une éducation avec des abris provisoires et un personnel d’enseignement non motivé, une santé sans médecin spécialisé, des villes sans eau, sans électricité, des communes sans voies d’accès, des troupeaux de bétail assoiffés, une agriculture sans matériels agricoles, des infrastructures délabrées, une population qui peine à assurer un repas équilibré, une jeunesse sans perspectives, des femmes marginalisées, sans aide, sans financement…», peut-on lire dans la déclaration du «Rewmiste» en chef.
Et Idy d’enfoncer le clou : «trois ans de slogans et discours démagogiques pour aboutir à un débat stérile sur le quinquennat, dont le seul but est de justifier un manquement à la parole donnée et aux engagements pris, ont retardé une prise en charge des besoins vitaux dans aucune des localités visitées».
Selon l’ancien Premier ministre sous l’ère Wade, «il existe des solutions qui ne sont pas difficiles à mettre en œuvre», et qui, à l’en croire, «ne procède que d’une simple volonté politique et d’un minimum de savoir-faire».
«Une éducation avec des abris provisoires et un personnel d’enseignement non motivé, une santé sans médecin spécialisé, des villes sans eau, sans électricité, des communes sans voies d’accès, des troupeaux de bétail assoiffés, une agriculture sans matériels agricoles, des infrastructures délabrées, une population qui peine à assurer un repas équilibré, une jeunesse sans perspectives, des femmes marginalisées, sans aide, sans financement…», peut-on lire dans la déclaration du «Rewmiste» en chef.
Et Idy d’enfoncer le clou : «trois ans de slogans et discours démagogiques pour aboutir à un débat stérile sur le quinquennat, dont le seul but est de justifier un manquement à la parole donnée et aux engagements pris, ont retardé une prise en charge des besoins vitaux dans aucune des localités visitées».
Selon l’ancien Premier ministre sous l’ère Wade, «il existe des solutions qui ne sont pas difficiles à mettre en œuvre», et qui, à l’en croire, «ne procède que d’une simple volonté politique et d’un minimum de savoir-faire».