Le président de l’association Dioguisali, Bambo Diaité, a lancé un vibrant plaidoyer en faveur du bitumage de ce tronçon dit de la CEDEAO, qu’il qualifie de « cordon ombilical » entre le Sénégal et la Guinée Bissau. Cette route, essentielle pour le désenclavement du Fouladou, traverse les communes de Dioulacolon, Guiro Yoro Bocar et Salikégné, et demeure, selon lui, un levier stratégique pour le développement économique et social de la région.
« Le développement de nos trois communes dépend du bitumage de ce tronçon », a affirmé M. Diaité lors d’un entretien avec le correspondant local de Pressafrik L’association Dioguisali qu’il dirige, regroupe les acteurs communautaires engagés pour le progrès des collectivités territoriales concernées.
Appelé « tronçon de la CEDEAO », ce corridor routier joue un rôle crucial dans la dynamique de coopération sous-régionale. Il relie les régions intérieures du Sénégal à la frontière bissao-guinéenne, et constitue un axe prioritaire pour le commerce, la mobilité des populations et l’intégration économique entre les deux pays.
Mais malgré son importance stratégique, le tronçon reste dans un état de délabrement avancé. Les travaux n'avancent pas.
« Il est temps de sortir le Fouladou de sa torpeur », a plaidé Bambo Diaité. « Nos populations souffrent. Le manque d'infrastructures routières freine l'accès à l'éducation, à la santé, au commerce. Ce bitumage n’est pas un luxe, c’est une urgence. »
Le département de Kolda, historiquement marginalisé dans les politiques d’infrastructures nationales, voit en ce projet une chance de rattrapage et de relance. Les élus locaux, les organisations de la société civile et les partenaires au développement sont donc appelés à conjuguer leurs efforts pour faire de cette revendication une priorité nationale.
M. Diaité a également lancé un appel au gouvernement sénégalais et aux institutions de la CEDEAO pour qu’ils s’engagent concrètement dans la réhabilitation de cet axe. « Ce tronçon est un symbole de notre diplomatie régionale. Le laisser à l’abandon, c’est fragiliser nos relations avec la Guinée et priver nos territoires d’un outil essentiel de croissance. »
Dans un contexte où les ambitions d’intégration régionale sont plus que jamais à l’ordre du jour, le bitumage de ce tronçon apparaît comme un chantier incontournable pour faire du Fouladou une région pleinement connectée, compétitive et tournée vers l’avenir.
« Le développement de nos trois communes dépend du bitumage de ce tronçon », a affirmé M. Diaité lors d’un entretien avec le correspondant local de Pressafrik L’association Dioguisali qu’il dirige, regroupe les acteurs communautaires engagés pour le progrès des collectivités territoriales concernées.
Appelé « tronçon de la CEDEAO », ce corridor routier joue un rôle crucial dans la dynamique de coopération sous-régionale. Il relie les régions intérieures du Sénégal à la frontière bissao-guinéenne, et constitue un axe prioritaire pour le commerce, la mobilité des populations et l’intégration économique entre les deux pays.
Mais malgré son importance stratégique, le tronçon reste dans un état de délabrement avancé. Les travaux n'avancent pas.
« Il est temps de sortir le Fouladou de sa torpeur », a plaidé Bambo Diaité. « Nos populations souffrent. Le manque d'infrastructures routières freine l'accès à l'éducation, à la santé, au commerce. Ce bitumage n’est pas un luxe, c’est une urgence. »
Le département de Kolda, historiquement marginalisé dans les politiques d’infrastructures nationales, voit en ce projet une chance de rattrapage et de relance. Les élus locaux, les organisations de la société civile et les partenaires au développement sont donc appelés à conjuguer leurs efforts pour faire de cette revendication une priorité nationale.
M. Diaité a également lancé un appel au gouvernement sénégalais et aux institutions de la CEDEAO pour qu’ils s’engagent concrètement dans la réhabilitation de cet axe. « Ce tronçon est un symbole de notre diplomatie régionale. Le laisser à l’abandon, c’est fragiliser nos relations avec la Guinée et priver nos territoires d’un outil essentiel de croissance. »
Dans un contexte où les ambitions d’intégration régionale sont plus que jamais à l’ordre du jour, le bitumage de ce tronçon apparaît comme un chantier incontournable pour faire du Fouladou une région pleinement connectée, compétitive et tournée vers l’avenir.