Les étudiants de l’Enstp ont décrété un nouveau mot d’ordre de grève de 48 heures renouvelable. Ces élèves, professeurs et psychologues, ont manifesté ce matin en barrant la Corniche Ouest de Dakar. Ils revendiquent le paiement des subventions de leurs mémoires.
«On a entamé une grève depuis le mois d’avril et elle est motivée par les subventions de mémoires que l’autorité refuse de nous payer, alors que c’est un droit », fulmine le Secrétaire administratif de l’Amicale des étudiants de l’Enstp.
Idrissa Mané persiste et signe : « Qu’on nous paie nos subventions de mémoires pour les élèves sortants parce qu’ils ne font même pas une centaine, et on leur doit 150 000 F Cfa ».
Et de rappeler : « On avait eu à rencontrer le Secrétaire général du ministre de tutelle, son Directeur de cabinet et la Direction des bourses, le 26 avril dernier. Ils nous ont demandé de lever notre mot d’ordre et que l’affaire sera transmise aux affaires juridiques. Ils nous ont demandé de surseoir à notre grève, et qu’ils vont nous revenir d’ici le 31 mai dernier et jusqu’à présent nous n’avons pas eu de Feed Back » .
Ces étudiants informent qu’ils ont « eu à envoyer deux (2) courriers de demande d’information par rapport à la situation, mais ils font la sourde oreille ».
«On a entamé une grève depuis le mois d’avril et elle est motivée par les subventions de mémoires que l’autorité refuse de nous payer, alors que c’est un droit », fulmine le Secrétaire administratif de l’Amicale des étudiants de l’Enstp.
Idrissa Mané persiste et signe : « Qu’on nous paie nos subventions de mémoires pour les élèves sortants parce qu’ils ne font même pas une centaine, et on leur doit 150 000 F Cfa ».
Et de rappeler : « On avait eu à rencontrer le Secrétaire général du ministre de tutelle, son Directeur de cabinet et la Direction des bourses, le 26 avril dernier. Ils nous ont demandé de lever notre mot d’ordre et que l’affaire sera transmise aux affaires juridiques. Ils nous ont demandé de surseoir à notre grève, et qu’ils vont nous revenir d’ici le 31 mai dernier et jusqu’à présent nous n’avons pas eu de Feed Back » .
Ces étudiants informent qu’ils ont « eu à envoyer deux (2) courriers de demande d’information par rapport à la situation, mais ils font la sourde oreille ».