Devant la persistance de la fermeture de la frontière entre le Sénégal et la Gambie, le Directeur exécutif de l’Unacois demande aux deux Etats de trouver un moyen pour régler leur différend. Car, affirme-t-il, la situation crée un énorme manque à gagner du fait que 250 camions seraient en stationnement, faute de pouvoir franchir la frontière : «C’est encore prématuré à notre niveau d’évaluer le volume d’affaire que cela contient, mais ce qui est claire, c’est que c’est une situation très pénible pour les commerçants, pénible pour l’économie de notre pays, mais également pénible pour la Gambie et certainement pour nos autorités respectives», déplore-t-il.
Et Ousmane Sy Ndiaye de poursuivre : «Donc nous souhaitons que nos autorités trouvent une solution le plus rapidement possible à cette situation, parce qu’on ne peut pas vouloir une chose et son contraire. Aussi bien le Sénégal que la Gambie sont engagés dans un processus d’intégration économique qui met en avant la libre circulation des personnes et des biens, compte tenu de l’exigence de bâtir un marché commun».
Mais cette obligation de mettre sur pied cette collaboration suppose un certain nombre de préalables : «Quand on veut bâtir un marché commun, l’exigence première est de favoriser une bonne fluidité des capitaux, des marchandises, des personnes et des biens. Donc c’est une situation regrettable pour tous. Nous souhaitons que la meilleure solution soit trouvée le plus rapidement possible», conclut-t-il.
Et Ousmane Sy Ndiaye de poursuivre : «Donc nous souhaitons que nos autorités trouvent une solution le plus rapidement possible à cette situation, parce qu’on ne peut pas vouloir une chose et son contraire. Aussi bien le Sénégal que la Gambie sont engagés dans un processus d’intégration économique qui met en avant la libre circulation des personnes et des biens, compte tenu de l’exigence de bâtir un marché commun».
Mais cette obligation de mettre sur pied cette collaboration suppose un certain nombre de préalables : «Quand on veut bâtir un marché commun, l’exigence première est de favoriser une bonne fluidité des capitaux, des marchandises, des personnes et des biens. Donc c’est une situation regrettable pour tous. Nous souhaitons que la meilleure solution soit trouvée le plus rapidement possible», conclut-t-il.