«Personnes n’entre ni ne sort jusqu’à ce que le Directeur en personnes ne vienne discuter avec nous et prendre des décisions idoines. Sans quoi, nous comptons ne pas lever notre mot d’ordre», a déclaré un ouvrier qui se prononçait sur les relations heurtées entre la direction de l’entreprise Isolux corsan et les ouvriers.
Ces derniers qui ont décidé d’entrer en rébellion pour protester contre le retard dans la perception de leur salaire veulent aller jusqu’au bout de ce bras de fer : «Depuis deux mois on ne nous paie pas. Nous ne sommes pas venus ici pour y rester, mais nous sommes venus pour avoir quelque chose à amener chez nous», déplore leur porte-parole, Oumar Coly.
Mais le retard des salaires n’est pas le seul grief retenu contre la direction de l’entreprise car, affirme-t-il «Nous avons constaté qu’à chaque fois qu’un délégué tire la sonnette d’alarme on le vire, ou on attend que ton contrat s’épuise et ils ne le renouvellent pas et nous voulons que cela s’arrête».
Ces derniers qui ont décidé d’entrer en rébellion pour protester contre le retard dans la perception de leur salaire veulent aller jusqu’au bout de ce bras de fer : «Depuis deux mois on ne nous paie pas. Nous ne sommes pas venus ici pour y rester, mais nous sommes venus pour avoir quelque chose à amener chez nous», déplore leur porte-parole, Oumar Coly.
Mais le retard des salaires n’est pas le seul grief retenu contre la direction de l’entreprise car, affirme-t-il «Nous avons constaté qu’à chaque fois qu’un délégué tire la sonnette d’alarme on le vire, ou on attend que ton contrat s’épuise et ils ne le renouvellent pas et nous voulons que cela s’arrête».