Son nom aura bien malgré lui marqué cette CAN 2021. Le 12 janvier dernier, à Limbé, l’arbitre Janny Sikazwe s’est distingué par des décisions complètement déroutantes dans les dernières minutes du choc entre le Mali et la Tunisie en phase de groupes (1-0).
«Il faisait très chaud, avec un taux d’humidité terrible, de plus de 80%. Dès mon échauffement, c’était dur. J’avais beau prendre de l’eau, j’avais l’impression d’avoir toujours aussi soif. Et ça s’est détérioré au fil des minutes», a dit l’homme de 42 ans, qui s’est senti de plus en plus mal au fil de la seconde période
. Au point de perdre le fil. «J’ai commencé à perdre mes repères. J’étais confus et je ne me rendais compte de rien. Je n’entendais plus mes assistants qui m’ont dit qu’ils essayaient de me joindre, de m’aider car ils voyaient que quelque chose n’allait pas. Je n’ai même pas eu l’impression qu’ils me parlaient. Je n’en ai aucun souvenir. J’étais dans mon monde, coupé de mes assistants. Même aujourd’hui, je ne vois toujours pas. Ils m’ont certainement parlé mais ça ne connectait pas », a-t-il confié au journal "L'Equipe".
«J’aurais pu rentrer dans un cercueil»
Sikazwe se décrit même comme un miraculé. «Ils ont appelé ça un coup de chaud mais ça aurait pu être bien plus grave. À 5 minutes près, je pouvais tomber dans le coma, m’ont-ils dit à l’hôpital. J’aurais pu rentrer dans un cercueil. Car c’était très dangereux ce qui s’est produit. Ma chance, c’est que je suis en bonne santé», a estimé l’arbitre.
Il a indiqué avoir très mal vécu le déferlement de critiques qui s’est abattu sur lui. «Ce n’est pas simple de voir tout ce qui est dit sur vous mais c’est la vie, alors que c’est une situation particulière que je n’avais jamais vécue. J’ai été déçu d’entendre tout ça mais c’est moi qui suis le premier frustré de ce qui s’est passé. Je suis tombé dessus une fois mais ça m’a fait mal, donc je ne voulais pas spécialement revoir ce match. Mais je vais repartir de l’avant », a expliqué Janny Sikazwe.
«Il faisait très chaud, avec un taux d’humidité terrible, de plus de 80%. Dès mon échauffement, c’était dur. J’avais beau prendre de l’eau, j’avais l’impression d’avoir toujours aussi soif. Et ça s’est détérioré au fil des minutes», a dit l’homme de 42 ans, qui s’est senti de plus en plus mal au fil de la seconde période
. Au point de perdre le fil. «J’ai commencé à perdre mes repères. J’étais confus et je ne me rendais compte de rien. Je n’entendais plus mes assistants qui m’ont dit qu’ils essayaient de me joindre, de m’aider car ils voyaient que quelque chose n’allait pas. Je n’ai même pas eu l’impression qu’ils me parlaient. Je n’en ai aucun souvenir. J’étais dans mon monde, coupé de mes assistants. Même aujourd’hui, je ne vois toujours pas. Ils m’ont certainement parlé mais ça ne connectait pas », a-t-il confié au journal "L'Equipe".
«J’aurais pu rentrer dans un cercueil»
Sikazwe se décrit même comme un miraculé. «Ils ont appelé ça un coup de chaud mais ça aurait pu être bien plus grave. À 5 minutes près, je pouvais tomber dans le coma, m’ont-ils dit à l’hôpital. J’aurais pu rentrer dans un cercueil. Car c’était très dangereux ce qui s’est produit. Ma chance, c’est que je suis en bonne santé», a estimé l’arbitre.
Il a indiqué avoir très mal vécu le déferlement de critiques qui s’est abattu sur lui. «Ce n’est pas simple de voir tout ce qui est dit sur vous mais c’est la vie, alors que c’est une situation particulière que je n’avais jamais vécue. J’ai été déçu d’entendre tout ça mais c’est moi qui suis le premier frustré de ce qui s’est passé. Je suis tombé dessus une fois mais ça m’a fait mal, donc je ne voulais pas spécialement revoir ce match. Mais je vais repartir de l’avant », a expliqué Janny Sikazwe.