Les croyances suprêmes, appelées superstitions se sont décuplées partout sur le territoire sénégalais, en ce jour de final de la coupe d’Afrique elles. Certains supporters les plus superstitieux réalisent des rituels de croyance « ridicule », voir « incroyables ». Des gris-gris en tous genres, slips porte-bonheur, maillot porte-bonheur, manies, mimiques ou encore des rituels, sont aux premières loges. Considérées comme actions inévitables et qui portent chance, certains de ces gestes sont devenus essentiels lorsqu’on regarde un match de football afin de supporter son équipe. Pour rituel son d'avant-match, Mohamed Diop, déclare qu’il a l’habitude de porter son short gris et de prendre place le dernier dans le salon familial. « Je suis toujours assis par terre, je ne m’assois jamais sur une chaise ou autre ». Une manie qu’il a répété tout le long de CAN et qui selon lui a porté chance aux Lions de la Teranga. Jusqu'aux plus classiques, les superstitions sont très répandu dans le monde du football des gestes banales pour certains, mais nécessaire pour d’autres qui y croit dur comme fer. Le coup de fil rassurant, le plat de coutume, le sous-vêtement fétiche… Les superstitions et rituels d’avant-match sont nombreux.
Impossible, pour Moustapha Diallo de regarder un match de l’équipe du Sénégal sans le sous-maillot avec le visage et le nom de Serigne Fallou, son guide spirituel qu’il revêt à chaque match. La même manie est remarquée chez Amadou Beye qui affirme que « souvent, je mets le même maillot qui a fait très longtemps. Je l’ai acheté il y a 5 ans et chaque fois que je regardais un match que jouait le Sénégal, il fallait impérativement que le portes. C’est comme si je n’étais pas à l’aise si je ne le portais pas (rire) et que mon corps me démangeais. Je ne suis à l’aise qu’après l’avoir mis. Je me sens plus Sénégalais comme ça », avoue-t-il en riant. La superstition est pour ces supporters comme une manière de me prémunir du malheur.
« D'une certaine manière, je mets toutes les chances de mon côté », lâche Pape Djiby Seck. « Dans un contexte stressant, la superstition joue un rôle important sur mon comportement, ça m’aide à garder le contrôle, à me rassurer et à avoir confiance », explique le jeune homme de 25 ans. Même si les superstitions sont par essence non prouvées, elles ont des bénéfices. Ces dernières donnent « un meilleur mental », à en croire Pape Djiby Seck.
Impossible, pour Moustapha Diallo de regarder un match de l’équipe du Sénégal sans le sous-maillot avec le visage et le nom de Serigne Fallou, son guide spirituel qu’il revêt à chaque match. La même manie est remarquée chez Amadou Beye qui affirme que « souvent, je mets le même maillot qui a fait très longtemps. Je l’ai acheté il y a 5 ans et chaque fois que je regardais un match que jouait le Sénégal, il fallait impérativement que le portes. C’est comme si je n’étais pas à l’aise si je ne le portais pas (rire) et que mon corps me démangeais. Je ne suis à l’aise qu’après l’avoir mis. Je me sens plus Sénégalais comme ça », avoue-t-il en riant. La superstition est pour ces supporters comme une manière de me prémunir du malheur.
« D'une certaine manière, je mets toutes les chances de mon côté », lâche Pape Djiby Seck. « Dans un contexte stressant, la superstition joue un rôle important sur mon comportement, ça m’aide à garder le contrôle, à me rassurer et à avoir confiance », explique le jeune homme de 25 ans. Même si les superstitions sont par essence non prouvées, elles ont des bénéfices. Ces dernières donnent « un meilleur mental », à en croire Pape Djiby Seck.