Le Bloc des Centristes Gaïndé (BCG) dirigé par Jean Paul Dias ne se réjouit pas de cette idée et décide de mener le combat. L'allié du président Sall qui se sentirait directement viser par se projet déclare avec ses compagnons du BCG : « L’exclusivité de la nationalité sénégalaise exigée du candidat à la présidence de la République révèle d'une véritable hypocrisie pour un pays comme le Sénégal ».
Les centristes qui indiquent leurs position de refus total de cette idée ragent: « Le premier et le troisième président de la république étaient au moins bi- nationaux, des indices très clairs permettent aussi de soutenir que le second était bi- national. Nul ne peut démonter qu’ils aient trahi le pays». Jean Paul Dias qui compte maintenir sa position définie cette idée comme ayant une origine « Crypto personnelle » car selon lui, elle ne correspond pas à la réalité d’un monde globalisé, ni à l’attachement constitutionnel à l’unité africaine et au vécu du Sénégal, terre de rencontre et de départ. Ainsi pour mieux cerner et comprendre l’idée Dias, propose une réflexion plus profonde sur la déchéance du président en cas de fausses déclarations sur sa nationalité.
« La législation sénégalaise devrait envisager d’introduire la grâce amnistiante» soutient par ailleurs Jean Paul Dias et Cie qui, ayant examiné le questionnaire servi aux partis politiques et à la société civile, constatent que c’est juste un moyen qui cherche à faire avaliser les conclusions des assises nationales qu’avait pilotées Amadou Maktar Mbow.
Le BCG qui n’a pas été associé à ces assises n’a pas convenance à y souscrire, car disent- ils tout le questionnaire porte sur le contenu d’une nouvelle constitution à laquelle Jean Paul Dias n’adhère même pas, car «cela ne se justifie nullement» dit-il sur les colonnes du journal "l'observateur".
Les centristes qui indiquent leurs position de refus total de cette idée ragent: « Le premier et le troisième président de la république étaient au moins bi- nationaux, des indices très clairs permettent aussi de soutenir que le second était bi- national. Nul ne peut démonter qu’ils aient trahi le pays». Jean Paul Dias qui compte maintenir sa position définie cette idée comme ayant une origine « Crypto personnelle » car selon lui, elle ne correspond pas à la réalité d’un monde globalisé, ni à l’attachement constitutionnel à l’unité africaine et au vécu du Sénégal, terre de rencontre et de départ. Ainsi pour mieux cerner et comprendre l’idée Dias, propose une réflexion plus profonde sur la déchéance du président en cas de fausses déclarations sur sa nationalité.
« La législation sénégalaise devrait envisager d’introduire la grâce amnistiante» soutient par ailleurs Jean Paul Dias et Cie qui, ayant examiné le questionnaire servi aux partis politiques et à la société civile, constatent que c’est juste un moyen qui cherche à faire avaliser les conclusions des assises nationales qu’avait pilotées Amadou Maktar Mbow.
Le BCG qui n’a pas été associé à ces assises n’a pas convenance à y souscrire, car disent- ils tout le questionnaire porte sur le contenu d’une nouvelle constitution à laquelle Jean Paul Dias n’adhère même pas, car «cela ne se justifie nullement» dit-il sur les colonnes du journal "l'observateur".