Un camp de déplacés, des tentes et des enfants, bidons vides sur la tête qui attendent pour de se servir en eau. Un rayon de soleil transcende l'image. Maryvonne, la mère de Camille Lepage, s'est arrêtée devant cette photo, exposée à Bangui. «Pourquoi j’ai choisi cette photo : parce qu’il y a beaucoup d’enfants et que je sais que Camille aimait beaucoup les enfants ; qu’elle était proche d’eux. Et puis il y a un rayon de soleil sur cette photo ! Je pense que c’est porteur d’espoir ! J’y crois et surtout, elle y croyait ! », assure Maryvonne Lepage.
L'espoir : Maryvonne Lepage veut continuer de faire connaître le travail de sa fille et d'en diffuser les valeurs au plus grand nombre. Dans Bangui, les photos sont affichées dans plusieurs arrondissements comme l'explique François Grosjean, le directeur de l'Alliance française de Bangui, qui a supervisé l'exposition. A Bangui, « les gens ne circulent plus d’un arrondissement à l’autre. On a essayé de donner un caractère vivant à cette exposition. Et puis ensuite de la déployer dans les arrondissements : Kolongo-plage, dans le VIe, dans le IIe arrondissement...». François Grosjean espère pouvoir faire circuler l'exposition ailleurs dans le pays, « qu’on la fasse vivre le plus largement possible ».
Quelques notes de piano et des histoires derrière chaque photo. Jusqu'au 17 avril, les Centrafricains peuvent donc découvrir leur ville et leur quotidien, saisis à travers l'objectif de la jeune photographe. Un regard empli d'humanité.
L'espoir : Maryvonne Lepage veut continuer de faire connaître le travail de sa fille et d'en diffuser les valeurs au plus grand nombre. Dans Bangui, les photos sont affichées dans plusieurs arrondissements comme l'explique François Grosjean, le directeur de l'Alliance française de Bangui, qui a supervisé l'exposition. A Bangui, « les gens ne circulent plus d’un arrondissement à l’autre. On a essayé de donner un caractère vivant à cette exposition. Et puis ensuite de la déployer dans les arrondissements : Kolongo-plage, dans le VIe, dans le IIe arrondissement...». François Grosjean espère pouvoir faire circuler l'exposition ailleurs dans le pays, « qu’on la fasse vivre le plus largement possible ».
Quelques notes de piano et des histoires derrière chaque photo. Jusqu'au 17 avril, les Centrafricains peuvent donc découvrir leur ville et leur quotidien, saisis à travers l'objectif de la jeune photographe. Un regard empli d'humanité.