Invité à l’émission « Face au Jury » ce dimanche, le secrétaire général de la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal-Forces du Changement (CNTS/FC), Cheikh Diop, a annoncé qu’une rencontre est en vue entre le gouvernement et les syndicats pour discuter du Code des investissements.
Cheikh Diop a par ailleurs dénoncé le fait que le Premier ministre se soit entretenu qu’avec le patronat mais pas avec les syndicats. Selon lui, « il devrait recevoir les syndicats parce que le Code des investissements nous intéresse tout autant que les employeurs ». Il a ajouté : « On a posé le problème et on est confiant qu’une rencontre se tiendra à ce sujet ».
Pour le secrétaire général de la CNTS/FC, le plus important est l’acte posé par le chef de l’État à peine installé à la tête du pays. « Il y a un acte que le gouvernement a posé que nous magnifions. Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a effectué sa prestation de serment et moins de 20 jours après, il a reçu les syndicats. »
Il a poursuivi : « Il leur a fait part qu’il souhaiterait avoir un partenariat responsable avec ces derniers. Un travail commun dans la sincérité parce qu’il sait ce qu’est un syndicat, parce qu’il en faisait partie. Mais pour que cette collaboration entre l’État et les syndicats puisse se concrétiser, il faut tisser des relations exemplaires. On en a discuté et c’est un acte que nous saluons », a-t-il signalé.
« Mais le hic », a souligné M. Diop, « c’est la rencontre que nous avons tenue au Grand Théâtre ». l" la rencontre tripartite" qui concernait les partenaires sociaux, travailleurs, employeurs et gouvernement. Il y avait un agenda qu’ils nous avaient soumis, concernant ceux qui étaient choisis pour intervenir lors de la rencontre. Mais une fois au Grand Théâtre, il y a eu changement, sans nous en avoir prévenus. »
Le syndicaliste a poursuivi : « C’est dans la salle qu’on nous a informés qu’il y avait un changement parce qu’ils souhaitaient que d’autres acteurs interviennent. Pourtant, ceux-là sont des travailleurs comme nous », a indiqué le SG de la CNTS/FC qui a précisé, « en fait, nous ne sommes pas contre cela, mais ils auraient dû nous en informer. Parce que ceux qui sont intervenus ont des préoccupations similaires aux nôtres. Ils ont donné la parole aux élèves, étudiants, professeurs, et ont snobé les acteurs de la santé. Ce qui n’est pas normal. On voulait boycotter la rencontre au moment où on a découvert que l’agenda avait été changé, mais on s’est dit que la population attend beaucoup de cette rencontre, voilà pourquoi on s’est résigné à participer. Mais on en a discuté, ils ont reconnu leur tort, on espère qu’une relation de respect s’imposera dans ce partenariat », a-t-il conclu.
Concernant la gestion des revendications, il a indiqué que les lenteurs constatés étaient normal. Parce que d'après lui, « le pays est dans une phase de transition, donc le mieux est de faire preuve de compréhension par moments. On vient d’un remaniement ministériel, mais cela ne doit pas non plus ralentir les choses. »
Cheikh Diop a par ailleurs dénoncé le fait que le Premier ministre se soit entretenu qu’avec le patronat mais pas avec les syndicats. Selon lui, « il devrait recevoir les syndicats parce que le Code des investissements nous intéresse tout autant que les employeurs ». Il a ajouté : « On a posé le problème et on est confiant qu’une rencontre se tiendra à ce sujet ».
Pour le secrétaire général de la CNTS/FC, le plus important est l’acte posé par le chef de l’État à peine installé à la tête du pays. « Il y a un acte que le gouvernement a posé que nous magnifions. Le Président Bassirou Diomaye Diakhar Faye a effectué sa prestation de serment et moins de 20 jours après, il a reçu les syndicats. »
Il a poursuivi : « Il leur a fait part qu’il souhaiterait avoir un partenariat responsable avec ces derniers. Un travail commun dans la sincérité parce qu’il sait ce qu’est un syndicat, parce qu’il en faisait partie. Mais pour que cette collaboration entre l’État et les syndicats puisse se concrétiser, il faut tisser des relations exemplaires. On en a discuté et c’est un acte que nous saluons », a-t-il signalé.
« Mais le hic », a souligné M. Diop, « c’est la rencontre que nous avons tenue au Grand Théâtre ». l" la rencontre tripartite" qui concernait les partenaires sociaux, travailleurs, employeurs et gouvernement. Il y avait un agenda qu’ils nous avaient soumis, concernant ceux qui étaient choisis pour intervenir lors de la rencontre. Mais une fois au Grand Théâtre, il y a eu changement, sans nous en avoir prévenus. »
Le syndicaliste a poursuivi : « C’est dans la salle qu’on nous a informés qu’il y avait un changement parce qu’ils souhaitaient que d’autres acteurs interviennent. Pourtant, ceux-là sont des travailleurs comme nous », a indiqué le SG de la CNTS/FC qui a précisé, « en fait, nous ne sommes pas contre cela, mais ils auraient dû nous en informer. Parce que ceux qui sont intervenus ont des préoccupations similaires aux nôtres. Ils ont donné la parole aux élèves, étudiants, professeurs, et ont snobé les acteurs de la santé. Ce qui n’est pas normal. On voulait boycotter la rencontre au moment où on a découvert que l’agenda avait été changé, mais on s’est dit que la population attend beaucoup de cette rencontre, voilà pourquoi on s’est résigné à participer. Mais on en a discuté, ils ont reconnu leur tort, on espère qu’une relation de respect s’imposera dans ce partenariat », a-t-il conclu.
Concernant la gestion des revendications, il a indiqué que les lenteurs constatés étaient normal. Parce que d'après lui, « le pays est dans une phase de transition, donc le mieux est de faire preuve de compréhension par moments. On vient d’un remaniement ministériel, mais cela ne doit pas non plus ralentir les choses. »