«Quelqu’un qui a été investi sur une liste validée par le ministre, après justement cette validation, même s’il démissionnait, le Code ne prévoit pas expressément la possibilité que des personnes soient remplacées». Cette révélation est de l’expert électoral Ndiaga Sylla qui apportait des éclaircissements, au micro de Su fm sur le Code électoral.
Et même dans ces deux cas, la loi a prévu un certain nombre dispositions : «Dans ces deux cas, le Code prévoit que jusqu’à la veille des élections, le mandataire peut faire une déclaration complémentaire de candidature et cette même déclaration devrait être affichée à la devanture du bureau de vote»
Mais, précise-t-il, «Si la démission intervient après l’élection, il reviendra à la nouvelle Assemblée nationale de la constater».
Et le coordonnateur du département «Démocratie et Processus électoraux» du Groupe de recherche et d’appui pour la démocratie participative et la bonne gouvernance (Gradec) de conclure : « Il n’est plus permis à un mandataire de procéder au remplacement des candidats qu’il sait éligibles. Ceux-là qui ont été investis sur des listes de candidatures n’ont plus, au regard des dispositions actuelles du Code électorale la prérogative de le remplacer sauf dans les deux cas de figure précités».
Et même dans ces deux cas, la loi a prévu un certain nombre dispositions : «Dans ces deux cas, le Code prévoit que jusqu’à la veille des élections, le mandataire peut faire une déclaration complémentaire de candidature et cette même déclaration devrait être affichée à la devanture du bureau de vote»
Mais, précise-t-il, «Si la démission intervient après l’élection, il reviendra à la nouvelle Assemblée nationale de la constater».
Et le coordonnateur du département «Démocratie et Processus électoraux» du Groupe de recherche et d’appui pour la démocratie participative et la bonne gouvernance (Gradec) de conclure : « Il n’est plus permis à un mandataire de procéder au remplacement des candidats qu’il sait éligibles. Ceux-là qui ont été investis sur des listes de candidatures n’ont plus, au regard des dispositions actuelles du Code électorale la prérogative de le remplacer sauf dans les deux cas de figure précités».