«Comment peut-on limoger un magistrat de son rang sans l’avoir informé au préalable », s’indique le défenseur des droits de l’homme », qui juge par ailleurs, la mesure « totalement discourtoise ». ce, dans « un Etat comme celui du Sénégal ». Pour Seydi Gassama, « de pareilles choses ne peuvent pas arriver à de hautes personnalités comme le magistrat Alioune Ndao ».
Reconnaissant que l’ex-Procureur spécial n’est pas « un magistrat de siège » mais « un magistrat du Parquet » qu’ « on peut affecter à tout moment », Amnesty international section Sénégal d’indiquer qu’ « il faut que les formes y soient mises ». D’autant plus selon Seydi Gassama que « cela ressemble plus à une humiliation qu’à autre chose ». Le droit de l’hommiste d’inviter dès lors « à la sérénité » dans le procès de Karim et ses co-prévenus. Car sert-il dans « l’Observateur », « malheureusement très souvent, Alioune Ndao a donné l’impression de faire de l’affaire Karim Wade, une affaire personnelle ».
Reconnaissant que l’ex-Procureur spécial n’est pas « un magistrat de siège » mais « un magistrat du Parquet » qu’ « on peut affecter à tout moment », Amnesty international section Sénégal d’indiquer qu’ « il faut que les formes y soient mises ». D’autant plus selon Seydi Gassama que « cela ressemble plus à une humiliation qu’à autre chose ». Le droit de l’hommiste d’inviter dès lors « à la sérénité » dans le procès de Karim et ses co-prévenus. Car sert-il dans « l’Observateur », « malheureusement très souvent, Alioune Ndao a donné l’impression de faire de l’affaire Karim Wade, une affaire personnelle ».